Agboville, Le pont sur la rivière Kèvy à Gbessé, devenu vieux et vétuste, risque un effondrement sous le poids des véhicules et autres usagers qui empruntent la route secondaire en terre reliant Agboville à Elibou (Autoroute du nord), et desservant les sous-préfectures de Loviguié, Oress-Krobou et Gomon, a constaté samedi l’AIP.
Ce pont construit sur la rivière Kèvy à la sortie de Gbessé, en direction de la sous-préfecture de Loviguié, est dans un état de dégradation très avancé.
‘’Le pont sur la rivière Kèvy sur le tronçon Agboville-Lovigié est devenu très dangereux à cause d’un gros trou béant qui s’est creusé. Nous demandons à l’Etat de faire quelque chose avant que le pire ne se produise’’, fait savoir Baudouin Yacho Yacho, un usager assis à l’arrière d’un moto-taxi conduit.
Au niveau de l’une de des extrémités de cette infrastructure, le bloc de béton s’est effondré dans la rivière, vraissemblablement sous l’effet de l’érosion, et a emporté avec lui une motte de terre laissant transparaître un trou béant qui a considérablement rétréci la route. A cet endroit précis, la route n’est déjà pas suffisamment large du fait de l’étroitesse du pont dont la largeur ne peut autoriser que le passage d’un seul véhicule à la fois, dans les deux sens.
Outre ce pont qui représente un réel danger pour ses usagers, celui sur le fleuve Agnéby, avant le village d’Offoridjé, tout aussi étroit, présente une certaine dangerosité, ses garde-fous en fer rouillés n’existent plus par endroits.
Ce pont "n’est pas rassurant, il suffit d’une petite fausse manœuvre, on peut plonger dans le fleuve; il faut donc des travaux de réhabilitation de ces deux ponts’’, affirme pour sa part Diarra Daniel, conducteur de moto-taxi.
(AIP)
ja/tm
Ce pont construit sur la rivière Kèvy à la sortie de Gbessé, en direction de la sous-préfecture de Loviguié, est dans un état de dégradation très avancé.
‘’Le pont sur la rivière Kèvy sur le tronçon Agboville-Lovigié est devenu très dangereux à cause d’un gros trou béant qui s’est creusé. Nous demandons à l’Etat de faire quelque chose avant que le pire ne se produise’’, fait savoir Baudouin Yacho Yacho, un usager assis à l’arrière d’un moto-taxi conduit.
Au niveau de l’une de des extrémités de cette infrastructure, le bloc de béton s’est effondré dans la rivière, vraissemblablement sous l’effet de l’érosion, et a emporté avec lui une motte de terre laissant transparaître un trou béant qui a considérablement rétréci la route. A cet endroit précis, la route n’est déjà pas suffisamment large du fait de l’étroitesse du pont dont la largeur ne peut autoriser que le passage d’un seul véhicule à la fois, dans les deux sens.
Outre ce pont qui représente un réel danger pour ses usagers, celui sur le fleuve Agnéby, avant le village d’Offoridjé, tout aussi étroit, présente une certaine dangerosité, ses garde-fous en fer rouillés n’existent plus par endroits.
Ce pont "n’est pas rassurant, il suffit d’une petite fausse manœuvre, on peut plonger dans le fleuve; il faut donc des travaux de réhabilitation de ces deux ponts’’, affirme pour sa part Diarra Daniel, conducteur de moto-taxi.
(AIP)
ja/tm
