La Côte d’Ivoire s’attèle à renforcer son dispositif de surveillance pour juguler l’insécurité maritime, a appris Xinhua vendredi de source sécuritaire.
Selon le chef des opérations de la marine nationale ivoirienne, le capitaine de vaisseau Amara Koné, la Côte d’Ivoire déploie des efforts colossaux pour sécuriser son espace maritime après une montée de la piraterie ces dernières années.
"La région du golfe de Guinée qui comprend des pays tels que le Ghana, le Nigeria, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Sénégal est devenue une zone d’immigration clandestine, de trafic de drogue et d’armes, de pêches illicites et de pollution maritime", a déploré l’officier.
Il a alors salué la formation, en deux ans, d’une centaine de marins ivoiriens en matière de techniques d’arraisonnement.
"Depuis l’acquisition de nos trois patrouilleurs, les eaux ivoiriennes sont sécurisées. Nous effectuons régulièrement des sorties en mer", a noté pour sa part le commandant d’un patrouilleur de la marine, le lieutenant de vaisseau Ghislain Guié.
L’officier s’est réjoui du "recul" de la présence de navires pirates dans la zone et relevé la capacité de réaction des bateaux de la marine ivoirienne.
Un pétrolier français avait été attaqué par des pirates en février 2013 au large d’Abidjan.
En janvier 2013, un pétrolier nigérian battant pavillon panaméen avait été victime d’une attaque de pirates à son ancrage d’Abidjan.
En octobre 2012, un tanker grec avait subi une attaque similaire quasiment au même endroit.
Face aux attaques menées par des pirates armés, les pays du Golfe de Guinée tentent de prendre des mesures sécuritaires d’envergure.
Selon le chef des opérations de la marine nationale ivoirienne, le capitaine de vaisseau Amara Koné, la Côte d’Ivoire déploie des efforts colossaux pour sécuriser son espace maritime après une montée de la piraterie ces dernières années.
"La région du golfe de Guinée qui comprend des pays tels que le Ghana, le Nigeria, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Sénégal est devenue une zone d’immigration clandestine, de trafic de drogue et d’armes, de pêches illicites et de pollution maritime", a déploré l’officier.
Il a alors salué la formation, en deux ans, d’une centaine de marins ivoiriens en matière de techniques d’arraisonnement.
"Depuis l’acquisition de nos trois patrouilleurs, les eaux ivoiriennes sont sécurisées. Nous effectuons régulièrement des sorties en mer", a noté pour sa part le commandant d’un patrouilleur de la marine, le lieutenant de vaisseau Ghislain Guié.
L’officier s’est réjoui du "recul" de la présence de navires pirates dans la zone et relevé la capacité de réaction des bateaux de la marine ivoirienne.
Un pétrolier français avait été attaqué par des pirates en février 2013 au large d’Abidjan.
En janvier 2013, un pétrolier nigérian battant pavillon panaméen avait été victime d’une attaque de pirates à son ancrage d’Abidjan.
En octobre 2012, un tanker grec avait subi une attaque similaire quasiment au même endroit.
Face aux attaques menées par des pirates armés, les pays du Golfe de Guinée tentent de prendre des mesures sécuritaires d’envergure.
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