En décembre de l'année dernière, lors de la cérémonie d'ouverture du Sommet du Forum sur la Coopération sino-africaine de Johannesburg, le Président Xi Jinping a proposé de se concentrer dans les trois prochaines années sur la mise en œuvre du « Programme des dix grands Partenariats» visant à stimuler l'industrialisation et la modernisation de l'agriculture en Afrique, et de fournir 60 milliards de Dollars US de soutien financier, établissant un nouveau plan pour le développement de la coopération entre la Chine et l'Afrique, en liant étroitement le développement de la Chine avec le développement de l'Afrique, et ouvrant une nouvelle ère de Coopération gagnant-gagnant pour le développement commun entre la Chine et l'Afrique.
La coopération sino-africaine s'est embarquée sur un nouveau voyage. Après un peu plus de six mois, un autre dialogue collectif de haut niveau entre la Chine et l'Afrique a commencé, avec le début à Beijing de la réunion des coordinateurs sur la mise en œuvre des résultats du Sommet de Johannesburg du Forum sur coopération sino-africaine le 29 juillet. Cette réunion, qui a rassemblé une centaine de responsables chinois et africains de niveau ministériel a dépassé tout ce qui était prévu en taille, caractéristiques et résultats, suscitant une grande attention de la part de la communauté et des médias internationaux.
Un des faits les plus notables de cette réunion est qu'elle a directement contribué à la signature entre les deux parties de 63 accords de coopération de divers types entre les deux parties d'un montant de 18,287 milliards de Dollars US, sur lesquels les investissements directs des entreprises chinoises et le montant des prêts commerciaux se sont élevés à 16,228 milliards de Dollars US, soit 88,74%. Selon des statistiques incomplètes, si on les ajoute aux accords de coopération mutuellement bénéfique signés entre les deux côtés depuis le Sommet du Forum, la Chine et l'Afrique ont conclu 245 accords pour un montant de 50,755 milliards de Dollars US. Ce qui n'a également pas manqué de surprendre agréablement, c'est que la mise en œuvre des résultats du Sommet a fourni un nouveau moteur à la coopération entre la Chine et l'Afrique, démontrant pleinement une nouvelle vision de l'avenir de la coopération sino-africaine.
Des changements structurels se sont produits pour la coopération sino-africaine. Du point de vue des 245accords signés par la Chine et l'Afrique depuis le Sommet, il ressort que l'aide de la Chine à l'Afrique ne représente au total que 1,07% des accords, les prêts préférentiels 6,24% seulement, tandis que les investissements directs des entreprises chinoises et les prêts commerciaux totalisent à eux seuls 46,553 milliards de Dollars US, soit 91,73% du montant total des accords. Il est manifeste que la mise en œuvre des résultats du Sommet du Forum est devenue une puissante force motrice du développement de la coopération sino-africaine, avec un effet de levier sur le marché de plus en plus apparent. La coopération sino-africaine a connu une bonne dynamique, passant d'une coopération naguère principalement basée sur l'assistance gouvernementale à une coopération axée sur les investissements des entreprises et la coopération en matière de financement, du commerce de marchandises de base à une coopération en matière de capacités de production et à la modernisation du commerce de transformation, et des contrats d'ingénierie à une coopération accrue dans le domaine des investissement et des finances.
Le développement de la coopération sino-africaine a des besoins mutuels et des avantages mutuels, ce qui a permis d'inaugurer une occasion historique. Après plus de 30 ans de réforme et d'ouverture et un développement réussi, la Chine compte un grand nombre d'industries de haute qualité et de riches capacités de production, qui ont besoin d'un large espace pour se développer à l'étranger. De son côté, l'Afrique est désireuse de s'industrialiser et de se moderniser, et pour cela elle a besoin de beaucoup d'investissements étrangers, de transferts industriels et de technologies. Le renfort de la coopération entre la Chine et l'Afrique en matière d'investissements et de financements permettra non seulement d'aider l'Afrique à accélérer son industrialisation et sa modernisation, afin d'améliorer ses capacités de développement autonome durable, mais aussi sera également davantage propice à la « sortie » des entreprises, des équipements et de la technologie chinois, favorable à la croissance économique de la Chine, tout en permettant d'éviter pour l'Afrique l'émergence de nouveaux risques de dette et de nouvelles charges financières, ce que l'on peut décrire comme une bonne chose, en ce qu'elle apportera davantage de bénéfices, et cela pour les deux parties ou plusieurs parties.
De même, les entreprises et les institutions financières deviennent progressivement un élément majeur de la coopération sino-africaine. La réunion a été qualifiée de grande réunion où « le gouvernement fixe le cadre, les entreprises constituent la colonne vertébrale, et les peuples en bénéficient », où non seulement plus de 300 hauts responsables gouvernementaux chinois et africains ont échangé et rapproché leurs idées, atteint un consensus et encouragé la coopération, mais où également plus de 300 représentants d'entreprises chinoises et africaines ont activement participé au dialogue des entreprises chinoises et africaines, à des cérémonies de signature, à un dialogue avec des institutions financières, dans une ambiance chaleureuse, permettant d'obtenir des réalisations remarquables en matière de coopération. Quant aux projets d'investissements des entreprises et de coopération en matière de financement, ils ont porté sur des domaines de moyenne et haute gamme comme les exploitants d'infrastructures, le développement de zones économiques spéciales et de parcs industriels, la construction de centres logistiques, les services financiers et d'autres encore. Il est manifeste que le caractère majeur de la coopération économique et commerciale a évolué, et que le Sommet du Forum sera propice au déclenchement d'une nouvelle vague d'investissement des entreprises chinoises en Afrique.
Une nouvelle ère de coopération gagnant-gagnant pour le développement commun entre la Chine et l'Afrique s'est ouverte, et que la coopération mutuellement bénéfique entre la Chine et l'Afrique va entrer dans une nouvelle étape marquée par la qualité, l'efficacité, la transformation et la modernisation. Tant que nous pourrons saisir cette occasion rare de connexion stratégique entre le développement de la Chine et celui de l'Afrique, et que nous ferons jouer à plein ces deux avantages que sont la confiance politique mutuelle et la forte complémentarité entre les deux économies, le développement de la coopération sino-africaine fera preuve d'une nouvelle jeunesse et d'une nouvelle vitalité, alors les peuples chinois et africains en recevront les fruits visibles et concrets.
La coopération sino-africaine s'est embarquée sur un nouveau voyage. Après un peu plus de six mois, un autre dialogue collectif de haut niveau entre la Chine et l'Afrique a commencé, avec le début à Beijing de la réunion des coordinateurs sur la mise en œuvre des résultats du Sommet de Johannesburg du Forum sur coopération sino-africaine le 29 juillet. Cette réunion, qui a rassemblé une centaine de responsables chinois et africains de niveau ministériel a dépassé tout ce qui était prévu en taille, caractéristiques et résultats, suscitant une grande attention de la part de la communauté et des médias internationaux.
Un des faits les plus notables de cette réunion est qu'elle a directement contribué à la signature entre les deux parties de 63 accords de coopération de divers types entre les deux parties d'un montant de 18,287 milliards de Dollars US, sur lesquels les investissements directs des entreprises chinoises et le montant des prêts commerciaux se sont élevés à 16,228 milliards de Dollars US, soit 88,74%. Selon des statistiques incomplètes, si on les ajoute aux accords de coopération mutuellement bénéfique signés entre les deux côtés depuis le Sommet du Forum, la Chine et l'Afrique ont conclu 245 accords pour un montant de 50,755 milliards de Dollars US. Ce qui n'a également pas manqué de surprendre agréablement, c'est que la mise en œuvre des résultats du Sommet a fourni un nouveau moteur à la coopération entre la Chine et l'Afrique, démontrant pleinement une nouvelle vision de l'avenir de la coopération sino-africaine.
Des changements structurels se sont produits pour la coopération sino-africaine. Du point de vue des 245accords signés par la Chine et l'Afrique depuis le Sommet, il ressort que l'aide de la Chine à l'Afrique ne représente au total que 1,07% des accords, les prêts préférentiels 6,24% seulement, tandis que les investissements directs des entreprises chinoises et les prêts commerciaux totalisent à eux seuls 46,553 milliards de Dollars US, soit 91,73% du montant total des accords. Il est manifeste que la mise en œuvre des résultats du Sommet du Forum est devenue une puissante force motrice du développement de la coopération sino-africaine, avec un effet de levier sur le marché de plus en plus apparent. La coopération sino-africaine a connu une bonne dynamique, passant d'une coopération naguère principalement basée sur l'assistance gouvernementale à une coopération axée sur les investissements des entreprises et la coopération en matière de financement, du commerce de marchandises de base à une coopération en matière de capacités de production et à la modernisation du commerce de transformation, et des contrats d'ingénierie à une coopération accrue dans le domaine des investissement et des finances.
Le développement de la coopération sino-africaine a des besoins mutuels et des avantages mutuels, ce qui a permis d'inaugurer une occasion historique. Après plus de 30 ans de réforme et d'ouverture et un développement réussi, la Chine compte un grand nombre d'industries de haute qualité et de riches capacités de production, qui ont besoin d'un large espace pour se développer à l'étranger. De son côté, l'Afrique est désireuse de s'industrialiser et de se moderniser, et pour cela elle a besoin de beaucoup d'investissements étrangers, de transferts industriels et de technologies. Le renfort de la coopération entre la Chine et l'Afrique en matière d'investissements et de financements permettra non seulement d'aider l'Afrique à accélérer son industrialisation et sa modernisation, afin d'améliorer ses capacités de développement autonome durable, mais aussi sera également davantage propice à la « sortie » des entreprises, des équipements et de la technologie chinois, favorable à la croissance économique de la Chine, tout en permettant d'éviter pour l'Afrique l'émergence de nouveaux risques de dette et de nouvelles charges financières, ce que l'on peut décrire comme une bonne chose, en ce qu'elle apportera davantage de bénéfices, et cela pour les deux parties ou plusieurs parties.
De même, les entreprises et les institutions financières deviennent progressivement un élément majeur de la coopération sino-africaine. La réunion a été qualifiée de grande réunion où « le gouvernement fixe le cadre, les entreprises constituent la colonne vertébrale, et les peuples en bénéficient », où non seulement plus de 300 hauts responsables gouvernementaux chinois et africains ont échangé et rapproché leurs idées, atteint un consensus et encouragé la coopération, mais où également plus de 300 représentants d'entreprises chinoises et africaines ont activement participé au dialogue des entreprises chinoises et africaines, à des cérémonies de signature, à un dialogue avec des institutions financières, dans une ambiance chaleureuse, permettant d'obtenir des réalisations remarquables en matière de coopération. Quant aux projets d'investissements des entreprises et de coopération en matière de financement, ils ont porté sur des domaines de moyenne et haute gamme comme les exploitants d'infrastructures, le développement de zones économiques spéciales et de parcs industriels, la construction de centres logistiques, les services financiers et d'autres encore. Il est manifeste que le caractère majeur de la coopération économique et commerciale a évolué, et que le Sommet du Forum sera propice au déclenchement d'une nouvelle vague d'investissement des entreprises chinoises en Afrique.
Une nouvelle ère de coopération gagnant-gagnant pour le développement commun entre la Chine et l'Afrique s'est ouverte, et que la coopération mutuellement bénéfique entre la Chine et l'Afrique va entrer dans une nouvelle étape marquée par la qualité, l'efficacité, la transformation et la modernisation. Tant que nous pourrons saisir cette occasion rare de connexion stratégique entre le développement de la Chine et celui de l'Afrique, et que nous ferons jouer à plein ces deux avantages que sont la confiance politique mutuelle et la forte complémentarité entre les deux économies, le développement de la coopération sino-africaine fera preuve d'une nouvelle jeunesse et d'une nouvelle vitalité, alors les peuples chinois et africains en recevront les fruits visibles et concrets.