Le 29 juillet a eu lieu un nouvel événement pour les échanges et la coopération entre la Chine et l'Afrique. Une centaine de responsables ministériels chinois et africains se sont réunis à Beijing pour assister à la réunion des coordinateurs sur la mise en œuvre des résultats du Sommet de Johannesburg du Forum sur la Coopération sino-africaine, et mettre conjointement en œuvre les résultats du Sommet et réfléchir sur des plans de coopération entre la Chine et l'Afrique.
Cette réunion des coordinateurs est une innovation du mécanisme du FOCAC ; elle ressemble à une réunion « technique », mais sa taille, ses caractéristiques et ses résultats ont largement dépassé les attentes, suscitant une vaste attention de la part des médias nationaux et internationaux et de la communauté internationale. A ce moment-là, la Résidence des hôtes d'Etat Diaoyutai est instantanément devenue un Centre international de conférences.
Les 52 membres africains du Forum avaient envoyé des participants de haut profil, représentant au total plus de 300 personnes, dont 104 responsables au-dessus du niveau ministériel, dont 1 de niveau chef d'Etat, 53 responsables de niveau ministre et 50 de vice-ministres. Les délégations des pays africains comptaient dans leur rang non seulement 11 ministres des affaires étrangères, mais aussi des dizaines de ministres impliqués dans le secteur du développement, comme des ministres des finances, de la planification, du commerce et de l'ingénierie. Plus de 10 pays africains avaient dépêché plus de 3 ministres ; de même, la Ministre des Affaires étrangères sud-africaine a personnellement conduit une délégation interministérielle de 20 personnes, et la délégation du Kenya comptait 9 responsables de niveau ministériel des ministères des affaires étrangères, des finances, de l'industrie, des transports et autres. On peut clairement dire que cette réunion fut une « réunion spéciale de ministres » sino-africaine !
En fait, après le Sommet du Forum, plus de 30 pays africains ont mis en place un mécanisme de coordination de haut niveau pour la mise en œuvre des résultats du Sommet, et dans certains pays, la personne en charge n'était rien moins que le président ou le premier ministre. Cela témoigne suffisamment de l'attention particulière accordée aux aspects de la mise en œuvre des résultats du Sommet du Forum sino-africain. Après la fin de la réunion des coordinateurs, près de 70 responsables ministériels africains et 37 diplomates en résidence en Chine ont également visité le Parc industriel de Suzhou, où ils ont pu apprendre de l'expérience réussie de la réforme et l'ouverture de la Chine. De par sa taille et son haut niveau, cette délégation a probablement battu le record de celles qui ont été reçues dans le Parc industriel de Suzhou !
La partie chinoise a accordé une grande importance à cette réunion des coordinateurs. Le Président Xi Jinping a spécifiquement envoyé un message de félicitations pour la réunion, et le Vice-Président Li Yuanchao a rencontré collectivement les chefs de délégation africains. De même, le Vice Premier Ministre Zhang Gaoli, le Conseiller d'Etat Yang Jiechi et d'autres dirigeants de l'Etat, de même que des hauts responsables des ministères des affaires étrangères et du commerce ont rencontré séparément les délégations africaines avec qui elles ont eu des discussions. Le Conseiller d'Etat Yang Jiechi est venu en personne à la cérémonie d'ouverture et a prononcé un discours. Le Ministre des Affaires étrangères Wang Yi, le Ministre du Commerce Gao Hucheng ont offert conjointement un banquet de bienvenue et délivré un rapport de travail. Manifestement, le degré de chaleur des relations sino-africaines et la vitalité de la coopération sino-africaine sont en contraste frappant avec la lenteur de la croissance économique mondiale actuelle.
Pourquoi tant de responsables ministériels des pays africains ont-ils ainsi afflué à Beijing ? Parce que les résultats du Sommet du Forum de l'année dernière n'ont cessé de se déverser sur le continent africain, produisant ainsi des fleurs et des fruits. La Chine est un pays qui honore ses promesses et fait ce qu'il prêche, et pour parvenir à un développement autonome durable en Afrique, la Chine est un vrai ami et un partenaire fiable. Les représentants africains ne sont pas seulement venus pour approfondir l'amitié, mais aussi pour promouvoir le développement de la coopération. En bref, en venant à Beijing, leur souhait était également d'attirer des investissements de la part de la Chine.
Lors de la réunion, des responsables de haut niveau des ministères chinois des affaires étrangères, du commerce, de l'agriculture et de la Commission de la réforme du développement, et d'autres institutions ont eu des réunions et des entretiens bilatéraux avec les ministres africains. La partie chinoise a également organisé diverses activités parallèles comme des séminaires sino-africains sur la coopération économique et commerciale, des conférences d'affaires et des cérémonies de signature d'accords commerciaux, des réunions de dialogue entre les coordinateurs et des responsables d'institutions financières, et invité un groupe de participants africains à venir faire l'expérience du Parc industriel de Suzhou. La réunion a eu pour conséquence directe la signature d'une série de 63 accords de coopération sino-africains entre les deux parties, d'un montant de 18,287 milliards de Dollars US, sur lesquels les investissements directs des entreprises chinoises et le montant des prêts commerciaux se sont élevés à 16,228 milliards de Dollars US, soit 88,74%. Selon des statistiques incomplètes, si on les ajoute au total des accords de coopération conclus depuis le Sommet, les deux parties ont signé un total de 245 accords pour un montant de 50,755 milliards de Dollars US, sur lesquels les investissements et les prêts commerciaux totalisent 46,053 milliards de Dollars US, soit 91,73% du montant total des accords.
À l'heure actuelle, dans un contexte de ralentissement économique mondial, de récupération faible, la coopération sino-africaine est d'autant plus belle. Le Sommet du FOCAC à Johannesburg a donné de surprenants nouveaux résultats, qui témoignent de nouvelles perspectives pour le développement commun. La coopération sino-africaine devrait devenir un nouvel espoir de stimulation de la croissance économique mondiale.
Cette réunion des coordinateurs est une innovation du mécanisme du FOCAC ; elle ressemble à une réunion « technique », mais sa taille, ses caractéristiques et ses résultats ont largement dépassé les attentes, suscitant une vaste attention de la part des médias nationaux et internationaux et de la communauté internationale. A ce moment-là, la Résidence des hôtes d'Etat Diaoyutai est instantanément devenue un Centre international de conférences.
Les 52 membres africains du Forum avaient envoyé des participants de haut profil, représentant au total plus de 300 personnes, dont 104 responsables au-dessus du niveau ministériel, dont 1 de niveau chef d'Etat, 53 responsables de niveau ministre et 50 de vice-ministres. Les délégations des pays africains comptaient dans leur rang non seulement 11 ministres des affaires étrangères, mais aussi des dizaines de ministres impliqués dans le secteur du développement, comme des ministres des finances, de la planification, du commerce et de l'ingénierie. Plus de 10 pays africains avaient dépêché plus de 3 ministres ; de même, la Ministre des Affaires étrangères sud-africaine a personnellement conduit une délégation interministérielle de 20 personnes, et la délégation du Kenya comptait 9 responsables de niveau ministériel des ministères des affaires étrangères, des finances, de l'industrie, des transports et autres. On peut clairement dire que cette réunion fut une « réunion spéciale de ministres » sino-africaine !
En fait, après le Sommet du Forum, plus de 30 pays africains ont mis en place un mécanisme de coordination de haut niveau pour la mise en œuvre des résultats du Sommet, et dans certains pays, la personne en charge n'était rien moins que le président ou le premier ministre. Cela témoigne suffisamment de l'attention particulière accordée aux aspects de la mise en œuvre des résultats du Sommet du Forum sino-africain. Après la fin de la réunion des coordinateurs, près de 70 responsables ministériels africains et 37 diplomates en résidence en Chine ont également visité le Parc industriel de Suzhou, où ils ont pu apprendre de l'expérience réussie de la réforme et l'ouverture de la Chine. De par sa taille et son haut niveau, cette délégation a probablement battu le record de celles qui ont été reçues dans le Parc industriel de Suzhou !
La partie chinoise a accordé une grande importance à cette réunion des coordinateurs. Le Président Xi Jinping a spécifiquement envoyé un message de félicitations pour la réunion, et le Vice-Président Li Yuanchao a rencontré collectivement les chefs de délégation africains. De même, le Vice Premier Ministre Zhang Gaoli, le Conseiller d'Etat Yang Jiechi et d'autres dirigeants de l'Etat, de même que des hauts responsables des ministères des affaires étrangères et du commerce ont rencontré séparément les délégations africaines avec qui elles ont eu des discussions. Le Conseiller d'Etat Yang Jiechi est venu en personne à la cérémonie d'ouverture et a prononcé un discours. Le Ministre des Affaires étrangères Wang Yi, le Ministre du Commerce Gao Hucheng ont offert conjointement un banquet de bienvenue et délivré un rapport de travail. Manifestement, le degré de chaleur des relations sino-africaines et la vitalité de la coopération sino-africaine sont en contraste frappant avec la lenteur de la croissance économique mondiale actuelle.
Pourquoi tant de responsables ministériels des pays africains ont-ils ainsi afflué à Beijing ? Parce que les résultats du Sommet du Forum de l'année dernière n'ont cessé de se déverser sur le continent africain, produisant ainsi des fleurs et des fruits. La Chine est un pays qui honore ses promesses et fait ce qu'il prêche, et pour parvenir à un développement autonome durable en Afrique, la Chine est un vrai ami et un partenaire fiable. Les représentants africains ne sont pas seulement venus pour approfondir l'amitié, mais aussi pour promouvoir le développement de la coopération. En bref, en venant à Beijing, leur souhait était également d'attirer des investissements de la part de la Chine.
Lors de la réunion, des responsables de haut niveau des ministères chinois des affaires étrangères, du commerce, de l'agriculture et de la Commission de la réforme du développement, et d'autres institutions ont eu des réunions et des entretiens bilatéraux avec les ministres africains. La partie chinoise a également organisé diverses activités parallèles comme des séminaires sino-africains sur la coopération économique et commerciale, des conférences d'affaires et des cérémonies de signature d'accords commerciaux, des réunions de dialogue entre les coordinateurs et des responsables d'institutions financières, et invité un groupe de participants africains à venir faire l'expérience du Parc industriel de Suzhou. La réunion a eu pour conséquence directe la signature d'une série de 63 accords de coopération sino-africains entre les deux parties, d'un montant de 18,287 milliards de Dollars US, sur lesquels les investissements directs des entreprises chinoises et le montant des prêts commerciaux se sont élevés à 16,228 milliards de Dollars US, soit 88,74%. Selon des statistiques incomplètes, si on les ajoute au total des accords de coopération conclus depuis le Sommet, les deux parties ont signé un total de 245 accords pour un montant de 50,755 milliards de Dollars US, sur lesquels les investissements et les prêts commerciaux totalisent 46,053 milliards de Dollars US, soit 91,73% du montant total des accords.
À l'heure actuelle, dans un contexte de ralentissement économique mondial, de récupération faible, la coopération sino-africaine est d'autant plus belle. Le Sommet du FOCAC à Johannesburg a donné de surprenants nouveaux résultats, qui témoignent de nouvelles perspectives pour le développement commun. La coopération sino-africaine devrait devenir un nouvel espoir de stimulation de la croissance économique mondiale.