Des chiens errants dans le quartier Lanviara à Ferkéssédougou s’attaquent nuitamment au bétail notamment à des brebis, chèvres et moutons égarés, a confié des habitants de ce quartier, jeudi à l'AIP.
"Je les ai aperçus une fois tous couverts de sang et de rosées au niveau du Centre national de recherche agronomique (CNRA) de Ferké. J'ai dû m'écarter de justesse de leur chemin pour ne pas subir le sort des moutons solitaires qu'ils croisent et dont ils déchiquettent la chair à coups de crocs», révèle M. Kassé, un habitant du quartier Lanviara.
Selon Koné Dotana, un habitant du quartier, ces chiens venus de tous les coins de rue, se retrouvent sur la voie principale où ils finissent par évoluer en meute. « Ils sont nombreux au moins une dizaine et de couleurs différentes et agressent les bêtes », ajoute-t-il.
A défaut de brebis et autres herbivores, ce sont les cochons et les lièvres qui en pâtissent. "J'en ai vus qui revenaient des buissons aux alentours de la CNRA où ils vont souvent chasser les lièvres et les cochons quand ils ne trouvent pas d'agneaux égarés sur leur chemin, " explique un habitant du quartier Dioulabougou, Sidibé Dramane.
Désormais vigilants, des propriétaires d'animaux ayant fait l'amer constat des pertes enregistrées de leurs bétails, prennent leur précaution. Ils font rentrer leurs bêtes très tôt au environ de 19 heures et rechercher au plus vite les chèvres et moutons égarés, de peur qu’ils finissent sous les crocs de ces canidés.
ti/bsb/tad/ask
"Je les ai aperçus une fois tous couverts de sang et de rosées au niveau du Centre national de recherche agronomique (CNRA) de Ferké. J'ai dû m'écarter de justesse de leur chemin pour ne pas subir le sort des moutons solitaires qu'ils croisent et dont ils déchiquettent la chair à coups de crocs», révèle M. Kassé, un habitant du quartier Lanviara.
Selon Koné Dotana, un habitant du quartier, ces chiens venus de tous les coins de rue, se retrouvent sur la voie principale où ils finissent par évoluer en meute. « Ils sont nombreux au moins une dizaine et de couleurs différentes et agressent les bêtes », ajoute-t-il.
A défaut de brebis et autres herbivores, ce sont les cochons et les lièvres qui en pâtissent. "J'en ai vus qui revenaient des buissons aux alentours de la CNRA où ils vont souvent chasser les lièvres et les cochons quand ils ne trouvent pas d'agneaux égarés sur leur chemin, " explique un habitant du quartier Dioulabougou, Sidibé Dramane.
Désormais vigilants, des propriétaires d'animaux ayant fait l'amer constat des pertes enregistrées de leurs bétails, prennent leur précaution. Ils font rentrer leurs bêtes très tôt au environ de 19 heures et rechercher au plus vite les chèvres et moutons égarés, de peur qu’ils finissent sous les crocs de ces canidés.
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