Toulépleu - Une vingtaine de personnes, arrêtées par l’armée libérienne dans les forêts de Tara et Tassara, depuis le 4 mars 2016, ont été remises, samedi, aux autorités ivoiriennes à Pékan-Barrage à la frontière Côte d’ivoire-Libéria.
Ces personnes auraient été incarcérées dans les prisons de Zwedru à 12 km des frontières ivoiriennes.
Aucune autorité de Toulépleu ne s’est pour l’instant prononcée sur leur situation. Cependant entassées en petits groupes au groupe scolaires 1 et 3 de Toulépleu à quelques mètres du camp militaire BSO (Bataillon de Sécurisation de L‘Ouest) et de la brigade de gendarmerie, ces personnes, qui seraient d’origine burkinabé, affirment ne pas avoir mangé « depuis près d’une semaine ».
Elles auraient été arrêtées par l’armée libérienne entre Para et Tassara, côté Libérien, et "c’est après presqu’une semaine de marche escortées par les forces de sécurité libériennes qu’elles ont atteint la ville de ZWEDRU", où elles auraient été détenues.
Elles n'ont fourni aucune explication sur les motifs de leur arrestation.
(AIP)
lmn/ask
Ces personnes auraient été incarcérées dans les prisons de Zwedru à 12 km des frontières ivoiriennes.
Aucune autorité de Toulépleu ne s’est pour l’instant prononcée sur leur situation. Cependant entassées en petits groupes au groupe scolaires 1 et 3 de Toulépleu à quelques mètres du camp militaire BSO (Bataillon de Sécurisation de L‘Ouest) et de la brigade de gendarmerie, ces personnes, qui seraient d’origine burkinabé, affirment ne pas avoir mangé « depuis près d’une semaine ».
Elles auraient été arrêtées par l’armée libérienne entre Para et Tassara, côté Libérien, et "c’est après presqu’une semaine de marche escortées par les forces de sécurité libériennes qu’elles ont atteint la ville de ZWEDRU", où elles auraient été détenues.
Elles n'ont fourni aucune explication sur les motifs de leur arrestation.
(AIP)
lmn/ask