Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, a révélé que la production halieutique en Côte d’Ivoire est estimée à 56000 tonnes. Pourtant l’importation de ce produit est évaluée à 380756 tonnes en 2015. Il a donné l’information, hier, à Sofitel Hôtel Ivoire, à Abidjan-Cocody, à l’ouverture officielle de la 2ème Conférence africaine sur le thon.
« La production halieutique est en deçà des besoins des populations », a-t-il avoué. Et que chaque habitant consomme entre 11 et 14 kilogrammes de produits halieutiques par an en Côte d’Ivoire. Cependant, il se réjouit de la tenue de la 2ème Conférence africaine sur le thon qui, selon lui, s’inscrit dans le cadre de la relance de la filière halieutique en Côte d’Ivoire. Pour Kablan Duncan, il faut faire de ce secteur un autre moteur du développement économique et social de la Côte d’Ivoire. C’est à juste titre qu’il loue l’institution du Régime d’entreprise franche de transformation des produits halieutiques en Côte d’Ivoire en 2005. Il a aussi évoqué la réforme structurelle dans le secteur en 2012. Il a apprécié la commercialisation de 106000 tonnes de produits halieutiques en Côte d’Ivoire de 2011 en 2015. Il n’a pas manqué d’inviter les opérateurs à investir dans la filière halieutique dans le cadre du Plan national de développement (Pnd).
Le ministre ivoirien des Ressources animales et Halieutiques, Kobenan Kouassi Adjomani, pour sa part, a annoncé qu’il s’agira de débattre de diverses questions liées à la transformation, à la pêche et au commerce du thon. Ainsi qu’établir de nouveaux contacts entre les professionnels du secteur et participer à la promotion des produits et services du secteur thonier africain.
Quant au président du comité d’organisation de la Conférence, Jacques Brullet, il a indiqué que le développement durable par rapport à la filière thon sera au centre des débats. Les menaces de la profession, selon lui, doivent être exploitées en opportunités. Il a rappelé que la production africaine en thon ravitaille le marché européen à hauteur de 60%. Il a promis l’institution de la Conférence africaine sur le thon.
GOMON Edmond
« La production halieutique est en deçà des besoins des populations », a-t-il avoué. Et que chaque habitant consomme entre 11 et 14 kilogrammes de produits halieutiques par an en Côte d’Ivoire. Cependant, il se réjouit de la tenue de la 2ème Conférence africaine sur le thon qui, selon lui, s’inscrit dans le cadre de la relance de la filière halieutique en Côte d’Ivoire. Pour Kablan Duncan, il faut faire de ce secteur un autre moteur du développement économique et social de la Côte d’Ivoire. C’est à juste titre qu’il loue l’institution du Régime d’entreprise franche de transformation des produits halieutiques en Côte d’Ivoire en 2005. Il a aussi évoqué la réforme structurelle dans le secteur en 2012. Il a apprécié la commercialisation de 106000 tonnes de produits halieutiques en Côte d’Ivoire de 2011 en 2015. Il n’a pas manqué d’inviter les opérateurs à investir dans la filière halieutique dans le cadre du Plan national de développement (Pnd).
Le ministre ivoirien des Ressources animales et Halieutiques, Kobenan Kouassi Adjomani, pour sa part, a annoncé qu’il s’agira de débattre de diverses questions liées à la transformation, à la pêche et au commerce du thon. Ainsi qu’établir de nouveaux contacts entre les professionnels du secteur et participer à la promotion des produits et services du secteur thonier africain.
Quant au président du comité d’organisation de la Conférence, Jacques Brullet, il a indiqué que le développement durable par rapport à la filière thon sera au centre des débats. Les menaces de la profession, selon lui, doivent être exploitées en opportunités. Il a rappelé que la production africaine en thon ravitaille le marché européen à hauteur de 60%. Il a promis l’institution de la Conférence africaine sur le thon.
GOMON Edmond