Elections législatives et référendum, Ahoua N’Doli : « L’heure du rassemblement des enfants d’Houphouët a sonné »

C’est un foyer des jeunes de Bongouanou archicomble qui a accueilli la délégation officielle conduite par Joël N’Guessan et comprenant le colonel Oka Amani. A l’issue de l’investiture des cinq coordinations locales (Bongouanou commune et sous-préfecture, N’Guessankro, Assié-Koumassi, Andé) le Coordonateur départementale, le ministre Ahoua N’Doli Théophile a rappelé les engagements de Bongouanou.

« Nous prenons solennellement l’engagement de faire des prochaines échéances électorales, notamment l’élection législative et la consultation référendaire un grand moment de cohésion et d’engagement militant afin de faire triompher les nobles idéaux du RHDP. L’heure du rassemblement a donc sonné pour nous afin de perpétuer ensemble, dans l’amour et la fraternité, l’œuvre des pionniers et des bâtisseurs de la Côte d’Ivoire ! ».

Il a rappelé que Bongouanou adhère à la mise en place prochaine, d’un grand parti unifié. « Bongouanou adhère pleinement et totalement aux initiatives heureuses et courageuses prises par le Président Henri Konan Bédié et les hautes instances du RHDP pour renforcer la cohésion et l’unité au sein du RHDP, à travers la mise en place prochaine, d’un grand parti unifié, le RHDP ; parti unifié auquel nous croyons ; parti unifié auquel Bongouanou adhère ». C’est pour cette raison, a-t-il affirmé, que « le RHDP ici à Bongouanou ne ménagera donc aucun effort pour qu’il en soit ainsi, à travers le dialogue constructif que nous entendons privilégier, en véritables disciples du Président Félix Houphouët-Boigny ».

Dans son intervention, le porte-parole du RDR s’est réjoui de ce que Bongouanou prenne l’engagement de « voter oui au référendum » et a invité l’opposition à plus de responsabilité. « Allez dire à Affi N’Guessan de se ressaisir, a-t-il indiqué, parce qu’à Marcoussis, il a signé pour l’adoption d’une nouvelle constitution ». Il l’a par ailleurs invité à abandonner la voie de la contestation qu’il a menacé de prendre, car « les Ivoiriens ne veulent plus revivre ce qu’ils ont vécu, il y a quelques années ».