Bouaké - Les staffs de Save the Children et les travailleurs sociaux prennent part de lundi à mercredi, à Bouaké, à un séminaire de renforcement de leurs capacités à concevoir et à mettre en œuvre des initiatives de prévention et de réponse aux violences sexuelles faites aux enfants.
La conseillère technique du programme protection de l’enfant à Save the Children, Rachel Tchema Adjé, a indiqué que les acteurs travaillent déjà sur ces thématiques mais pour mieux faire le travail dans un contexte humanitaire, «il faut toujours renforcer parce que la connaissance évolue».
La formation porte sur un document de lignes directrices élaboré par Save the Children Suède sur les pratiques, les interventions et les activités. Ce document enseigne notamment comment se fait la gestion d’un cas de violence sexuelle, la prise en charge, le rapportage et le volet à prendre en compte dans le travail sur les violences sexuelles.
L’on note qu’en Côte d’Ivoire, malgré les efforts déployés par les différents acteurs, des défis demeurent dans la lutte contre les violences sexuelles. Le constat est que (...), les cas de violences sexuelles ne sont pas systématiquement rapportés par les communautés et l’accès à la justice et la protection judiciaire des enfants sont affectés par des barrières sociales de sorte que les parents des victimes optent en général pour le règlement des cas à l’amiable.
(AIP)
La conseillère technique du programme protection de l’enfant à Save the Children, Rachel Tchema Adjé, a indiqué que les acteurs travaillent déjà sur ces thématiques mais pour mieux faire le travail dans un contexte humanitaire, «il faut toujours renforcer parce que la connaissance évolue».
La formation porte sur un document de lignes directrices élaboré par Save the Children Suède sur les pratiques, les interventions et les activités. Ce document enseigne notamment comment se fait la gestion d’un cas de violence sexuelle, la prise en charge, le rapportage et le volet à prendre en compte dans le travail sur les violences sexuelles.
L’on note qu’en Côte d’Ivoire, malgré les efforts déployés par les différents acteurs, des défis demeurent dans la lutte contre les violences sexuelles. Le constat est que (...), les cas de violences sexuelles ne sont pas systématiquement rapportés par les communautés et l’accès à la justice et la protection judiciaire des enfants sont affectés par des barrières sociales de sorte que les parents des victimes optent en général pour le règlement des cas à l’amiable.
(AIP)