C’est à visage découvert que le capitaine de gendarmerie ivoirien, Barthélémy Obiénéré Ouattara, a déposé, dès le 31 août, devant la Cour pénale internationale (CPI). Pendant six jours, cet ancien commandant d’escadron de la gendarmerie, et responsable du Centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos), a évoqué par le détail les missions des différentes forces ivoiriennes, puis est largement revenu sur la marche du 3 mars 2011 au quartier d’Abobo.
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Ce jour-là, les forces ivoiriennes réprimaient une marche pacifique rassemblant plus de 3 000 femmes, selon l’accusation. L’un des crimes contre l’humanité dont Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé... suite de l'article sur LeMonde.fr
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