Abidjan - L’Union des commerçants du shopping Abrogoua, ex-black market d’Adjamé, sollicite le gouvernement pour la sécurisation du site de leurs activités commerciales par les forces de sécurité.
Lors d’un entretien, mercredi, avec l’AIP, la présidente de cette union, Adja Kady Doumbia, a exprimé son inquiétude face à une situation déplorable et appelé à un secours d’urgence en vue de redorer l’image de ce marché de gros et de détails.
« C’est rare de voir les forces de l’ordre et de sécurité patrouiller dans le marché et c’est une honte de savoir que le site soit devenu un endroit dangereux », a-t-elle déploré, plaidant pour que ce marché, « poumon économique d’Adjamé » soit sécurisé parce que « nous sommes des commerçants qui payons nos impôts ».
Elle dit ne pas comprendre qu’un si grand marché qui ravitaille plusieurs autres marchés, notamment certaines galeries du Plateau et plusieurs grandes surfaces d’Abidjan, ne bénéficie d’aucune mesure de sécurisation, d’où son cri de cœur.
Depuis quelques temps, des jeunes délinquants agressent les usages et les clients de l’ex-black market d’Adjamé et ses environs, entre la gare de trains et la grande mosquée, malgré la présence de « loubards » appelés « black-tigers ».
Dans le cadre de l’assainissement de la commune d’Adjamé démarrée le 30 juillet avec la destruction des installations des commerçants sur le domaine public de la zone du rond-point Félix Houphouët Boigny du sous quartier « Liberté » et le long des artères adjacentes, les commerçants de l’ex-black market avaient volontairement libéré le domaine public de leurs occupations anarchiques.
Mais depuis le passage des grues, passants et clients sont régulièrement agressés par des délinquants, faisant peser une grave menace sur les affaires.
tg/aaa/ask
Lors d’un entretien, mercredi, avec l’AIP, la présidente de cette union, Adja Kady Doumbia, a exprimé son inquiétude face à une situation déplorable et appelé à un secours d’urgence en vue de redorer l’image de ce marché de gros et de détails.
« C’est rare de voir les forces de l’ordre et de sécurité patrouiller dans le marché et c’est une honte de savoir que le site soit devenu un endroit dangereux », a-t-elle déploré, plaidant pour que ce marché, « poumon économique d’Adjamé » soit sécurisé parce que « nous sommes des commerçants qui payons nos impôts ».
Elle dit ne pas comprendre qu’un si grand marché qui ravitaille plusieurs autres marchés, notamment certaines galeries du Plateau et plusieurs grandes surfaces d’Abidjan, ne bénéficie d’aucune mesure de sécurisation, d’où son cri de cœur.
Depuis quelques temps, des jeunes délinquants agressent les usages et les clients de l’ex-black market d’Adjamé et ses environs, entre la gare de trains et la grande mosquée, malgré la présence de « loubards » appelés « black-tigers ».
Dans le cadre de l’assainissement de la commune d’Adjamé démarrée le 30 juillet avec la destruction des installations des commerçants sur le domaine public de la zone du rond-point Félix Houphouët Boigny du sous quartier « Liberté » et le long des artères adjacentes, les commerçants de l’ex-black market avaient volontairement libéré le domaine public de leurs occupations anarchiques.
Mais depuis le passage des grues, passants et clients sont régulièrement agressés par des délinquants, faisant peser une grave menace sur les affaires.
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