A l’initiative du Fonds international pour le Développement de la Retraite active (FIDRA), l’université du 3ème âge de Côte d’Ivoire (UTA-CI) a lancé le démarrage de ses activités mercredi à Abidjan par un colloque autour du thème « Ainsi naquit l’université du 3ème âge ».
L’honneur est revenu à l’ancien ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Emile Constant Bombet, par ailleurs parrain de la cérémonie de prononcer la conférence inaugurale autour du thème principal choisi pour le colloque. D’entrée, le Ministre Bombet a expliqué ce que c’est que l’Université du 3ème âge. A l’en croire, l’université du 3ème âge de Côte d’Ivoire qui représente toutes les couches de la société, est une plateforme d’échange, de partage d’expériences et de connaissances pour alimenter la réflexion sur la situation des personnes âgées en Côte d’Ivoire. « Il faut rompre avec la vision de la retraite comme une fin d’activité », a insisté Emile Constant Bombet.
Selon l’ancien ministre d’Etat, l’université du 3ème âge devra faire en sorte que les personnes retraitées puissent contribuer au développement économique et social de la Côte d’Ivoire. Si en Afrique un vieillard qui meurt est considéré comme une bibliothèque qui brule, alors à l’instar du Canada, le 3ème âge doit être vu en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire comme un âge d’or, a estimé Emile Constant Bombet.
Comment s’intégrer dans la société et se rendre utile dans un environnement ou les personnes âgées ne sont que tolérées au lieu d’être acceptées ? Quelle humanité pourrait-on reconnaître aux personnes du troisième âge si elles ne jouent aucun rôle dans la société ? Comment le retraité pourrait-il s’intégrer dans la société active et faire de ce grand âge une partie utile et importante de son existence? Comment encourager le développement et l’épanouissement des retraités par le réinvestissement social des acquis? Comment permettre aux personnes âgées de mieux vivre les années gagnées ? Comment promouvoir un vieillissement actif? Sont autant de questions auxquelles tentera de répondre ce colloque qui est prévu pour durer sur deux jours, a indiqué la Présidente, Directrice générale de FIDRA, Hélène Diarra.
Elle a en outre rappelé que le colloque, cadre permanent de réflexion et d’échanges, sur les problématiques du vieillissement actif et les questions relatives à l’amélioration de la qualité de vie des personnes du troisième âge, devra permettre de sensibiliser l’opinion publique sur l’importance d’inscrire les préoccupations des personnes âgées dans les programmes de développement de la Côte d’Ivoire.
« Nous restons convaincus que Les travaux du colloque permettront d’émettre des propositions concrètes, réalistes et consensuelles dont la mise en œuvre rendra plus visibles les actions en faveur de l’amélioration de la qualité de vie des personnes du troisième âge », a conclu Hélène Diarra.
Elisée B.
L’honneur est revenu à l’ancien ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Emile Constant Bombet, par ailleurs parrain de la cérémonie de prononcer la conférence inaugurale autour du thème principal choisi pour le colloque. D’entrée, le Ministre Bombet a expliqué ce que c’est que l’Université du 3ème âge. A l’en croire, l’université du 3ème âge de Côte d’Ivoire qui représente toutes les couches de la société, est une plateforme d’échange, de partage d’expériences et de connaissances pour alimenter la réflexion sur la situation des personnes âgées en Côte d’Ivoire. « Il faut rompre avec la vision de la retraite comme une fin d’activité », a insisté Emile Constant Bombet.
Selon l’ancien ministre d’Etat, l’université du 3ème âge devra faire en sorte que les personnes retraitées puissent contribuer au développement économique et social de la Côte d’Ivoire. Si en Afrique un vieillard qui meurt est considéré comme une bibliothèque qui brule, alors à l’instar du Canada, le 3ème âge doit être vu en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire comme un âge d’or, a estimé Emile Constant Bombet.
Comment s’intégrer dans la société et se rendre utile dans un environnement ou les personnes âgées ne sont que tolérées au lieu d’être acceptées ? Quelle humanité pourrait-on reconnaître aux personnes du troisième âge si elles ne jouent aucun rôle dans la société ? Comment le retraité pourrait-il s’intégrer dans la société active et faire de ce grand âge une partie utile et importante de son existence? Comment encourager le développement et l’épanouissement des retraités par le réinvestissement social des acquis? Comment permettre aux personnes âgées de mieux vivre les années gagnées ? Comment promouvoir un vieillissement actif? Sont autant de questions auxquelles tentera de répondre ce colloque qui est prévu pour durer sur deux jours, a indiqué la Présidente, Directrice générale de FIDRA, Hélène Diarra.
Elle a en outre rappelé que le colloque, cadre permanent de réflexion et d’échanges, sur les problématiques du vieillissement actif et les questions relatives à l’amélioration de la qualité de vie des personnes du troisième âge, devra permettre de sensibiliser l’opinion publique sur l’importance d’inscrire les préoccupations des personnes âgées dans les programmes de développement de la Côte d’Ivoire.
« Nous restons convaincus que Les travaux du colloque permettront d’émettre des propositions concrètes, réalistes et consensuelles dont la mise en œuvre rendra plus visibles les actions en faveur de l’amélioration de la qualité de vie des personnes du troisième âge », a conclu Hélène Diarra.
Elisée B.