La Cour constitutionnelle gabonaise a confirmé vendredi la victoire du chef de l’Etat sortant Ali Bongo à l’élection présidentielle du 27 août, face à son rival Jean Ping, après le décompte des voix.
Le 31 août, la Commission électorale d’abord, puis le ministère de l’Intérieur avaient déjà proclamé la victoire pour un second mandat du chef de l’Etat sortant, accrédité de 49, 80 % des suffrages contre 48,23% pour l’opposant Jean Ping.
Accusant le pouvoir de "fraudes", l’opposition avait contesté ces résultats et exigé "un recomptage des voix", dans un climat de violences à Libreville, la capitale et dans d’autres villes du pays.
Opposé au départ à cette demande de l’opposition, le camp Bongo, sous la pression de la Communauté internationale a finalement accepté la requête de son adversaire.
Avec ce verdict de la Cour constitutionnelle et le règlement de ce contentieux électoral, Ali Bongo reste à la tête du Gabon pour un second mandat de sept ans.
Serge Alain KOFFI
Le 31 août, la Commission électorale d’abord, puis le ministère de l’Intérieur avaient déjà proclamé la victoire pour un second mandat du chef de l’Etat sortant, accrédité de 49, 80 % des suffrages contre 48,23% pour l’opposant Jean Ping.
Accusant le pouvoir de "fraudes", l’opposition avait contesté ces résultats et exigé "un recomptage des voix", dans un climat de violences à Libreville, la capitale et dans d’autres villes du pays.
Opposé au départ à cette demande de l’opposition, le camp Bongo, sous la pression de la Communauté internationale a finalement accepté la requête de son adversaire.
Avec ce verdict de la Cour constitutionnelle et le règlement de ce contentieux électoral, Ali Bongo reste à la tête du Gabon pour un second mandat de sept ans.
Serge Alain KOFFI