Abidjan - Des jeunes bénéficiaires du programme de formation "génération avenir", initié par la fondation Friedricht Ebert Stiftung en 2005, ont mis en place, samedi, un réseau en vue de leur intégration dans les instances de décisions.
L’assemblée générale qui a eu pour cadre l’immeuble Carbone de Cocody, a permis à ces jeunes d’adopter les statuts et règlement intérieur du réseau, d’élire le président du bureau exécutif et les commissaires aux comptes, et d’élaborer un programme d’activités.
Le président élu de ce nouveau réseau, Kouamé Paterne, a exprimé sa volonté de proposer "une vision alternative de la jeunesse" et veut offrir à cette jeunesse une "démarche qualitative", afin de changer le regard des ainés, car la jeunesse ivoirienne a "des qualités et des potentialités" qui permettront aux ainés de la solliciter".
"Cette jeunesse doit s’informer, se former, mais aussi assumer des postes de responsabilité", a-t-il ajouté.
Pour Martin Yohr, représentant résident de la fondation Friedricht Ebert Stiftung, son organisation cherche des jeunes gens qui pourraient "influencer" la politique, la vie économique et sociale, et le développement de leur pays. « Pour influencer le développement, il faut un réseau", a indiqué M. Yohr, se réjouissant de la mise en place du réseau "génération avenir".
Un panel sur le thème "L’intégration des jeunes au sein des instances de décision, défis et opportunités" qui a suivi l’assemblée générale, a permis aux panélistes N’Déhi Magloire, Diabaté Fatimata, Doumbia Namaré et N’Doua Joël, issus de différentes organisations, de montrer que la jeunesse peut intégrer les instances de décision si elle se forme, ose, affiche une ferme volonté, se rend disponible, construit une démarche et cesse de pleurnicher.
Créée en 1925, la fondation allemande Friedrich Ebert Stiftung a formé près de 300 jeunes au leadership en Côte d’Ivoire depuis 2005 a-t-on appris.
Akn/kp
L’assemblée générale qui a eu pour cadre l’immeuble Carbone de Cocody, a permis à ces jeunes d’adopter les statuts et règlement intérieur du réseau, d’élire le président du bureau exécutif et les commissaires aux comptes, et d’élaborer un programme d’activités.
Le président élu de ce nouveau réseau, Kouamé Paterne, a exprimé sa volonté de proposer "une vision alternative de la jeunesse" et veut offrir à cette jeunesse une "démarche qualitative", afin de changer le regard des ainés, car la jeunesse ivoirienne a "des qualités et des potentialités" qui permettront aux ainés de la solliciter".
"Cette jeunesse doit s’informer, se former, mais aussi assumer des postes de responsabilité", a-t-il ajouté.
Pour Martin Yohr, représentant résident de la fondation Friedricht Ebert Stiftung, son organisation cherche des jeunes gens qui pourraient "influencer" la politique, la vie économique et sociale, et le développement de leur pays. « Pour influencer le développement, il faut un réseau", a indiqué M. Yohr, se réjouissant de la mise en place du réseau "génération avenir".
Un panel sur le thème "L’intégration des jeunes au sein des instances de décision, défis et opportunités" qui a suivi l’assemblée générale, a permis aux panélistes N’Déhi Magloire, Diabaté Fatimata, Doumbia Namaré et N’Doua Joël, issus de différentes organisations, de montrer que la jeunesse peut intégrer les instances de décision si elle se forme, ose, affiche une ferme volonté, se rend disponible, construit une démarche et cesse de pleurnicher.
Créée en 1925, la fondation allemande Friedrich Ebert Stiftung a formé près de 300 jeunes au leadership en Côte d’Ivoire depuis 2005 a-t-on appris.
Akn/kp
