Plusieurs emplois sont menacés à l’usine de trituration des graines oléagineuses, Olheol Industries-Côte d’Ivoire pour défaut de matière première de production, notamment, la graine de coton, a révélé, vendredi, à Bouaké (Centre-Nord), le secrétaire général du syndicat du personnel de cette usine, Ibrahima Kané.
Il s’exprimait lors d’une tribune d’échanges, initiée par le ministère de la promotion de la jeunesse, de l’emploi des jeunes et du service civique dans le cadre de l’opération « les rendez-vous avec les jeunes’’.
Selon le syndicaliste, de nombreux jeunes embauchés par Olheol Bouaké sont au chômage technique depuis environ quatre mois, tout simplement parce que l’usine est confrontée à un manque criard de matière première de production qui l’empêche de tourner à plein régime.
Pour remédier à cette situation d’Olheol, M. Kané a exhorté le gouvernement ivoirien à mettre en application la loi interdisant l’exportation de graines de coton comme cela se fait dans plusieurs pays d’Afrique, tel qu’au Burkina Faso et au Benin.
‘’Nous demandons aux autorités de faire appliquer cette loi qui stipule qu’il faut servir les entreprises locales d’abord en graines de coton avant l’extérieur’’, a-t-il insisté.
CK/ls/APA
Il s’exprimait lors d’une tribune d’échanges, initiée par le ministère de la promotion de la jeunesse, de l’emploi des jeunes et du service civique dans le cadre de l’opération « les rendez-vous avec les jeunes’’.
Selon le syndicaliste, de nombreux jeunes embauchés par Olheol Bouaké sont au chômage technique depuis environ quatre mois, tout simplement parce que l’usine est confrontée à un manque criard de matière première de production qui l’empêche de tourner à plein régime.
Pour remédier à cette situation d’Olheol, M. Kané a exhorté le gouvernement ivoirien à mettre en application la loi interdisant l’exportation de graines de coton comme cela se fait dans plusieurs pays d’Afrique, tel qu’au Burkina Faso et au Benin.
‘’Nous demandons aux autorités de faire appliquer cette loi qui stipule qu’il faut servir les entreprises locales d’abord en graines de coton avant l’extérieur’’, a-t-il insisté.
CK/ls/APA