Korhogo – L’université Péléforo Gon Coulibaly (UPGC) de Korhogo a célébré samedi ses 105
La licence est le grade qui consacre la reconnaissance du mérite à son titulaire par la communauté universitaire, souligne-t-on.
Elle "signifie que ces étudiants sont suffisamment outillés pour comprendre toute question d’économie ou de gestion et de l’utiliser pour travailler", a expliqué le parrain de la promotion, le Pr Bamba N’Galadjo, commissaire macro-économique à la commission de la Cedeao pour le compte de la Côte d'Ivoire, en rendant hommage à ses filleuls.
Le vice-doyen de l’Unité de formation et de recherches (UFR) des sciences sociales, pour sa part, a soutenu que les nouveaux diplômés ont été "bien formés et préparés" à devenir des "modèles" qui feraient honneur à l’UPGC créée en 2012 et qui ambitionne de compter parmi les meilleures universités du pays.
Pour le président de l’UPGC, le Pr Coulibaly Adama, ces étudiants sont d’autant plus méritants qu’ils ont passé avec succès les trois premières années d’études en sciences économiques et en gestion, malgré des difficultés liées à l’irrégularité du rythme des cours due en partie à l’insuffisance d’enseignants.
Kaem/kp
La licence est le grade qui consacre la reconnaissance du mérite à son titulaire par la communauté universitaire, souligne-t-on.
Elle "signifie que ces étudiants sont suffisamment outillés pour comprendre toute question d’économie ou de gestion et de l’utiliser pour travailler", a expliqué le parrain de la promotion, le Pr Bamba N’Galadjo, commissaire macro-économique à la commission de la Cedeao pour le compte de la Côte d'Ivoire, en rendant hommage à ses filleuls.
Le vice-doyen de l’Unité de formation et de recherches (UFR) des sciences sociales, pour sa part, a soutenu que les nouveaux diplômés ont été "bien formés et préparés" à devenir des "modèles" qui feraient honneur à l’UPGC créée en 2012 et qui ambitionne de compter parmi les meilleures universités du pays.
Pour le président de l’UPGC, le Pr Coulibaly Adama, ces étudiants sont d’autant plus méritants qu’ils ont passé avec succès les trois premières années d’études en sciences économiques et en gestion, malgré des difficultés liées à l’irrégularité du rythme des cours due en partie à l’insuffisance d’enseignants.
Kaem/kp