Abidjan (Côte d’Ivoire) - L’opposition regroupée au sein de l’Alliance des forces démocratiques (AFD) a estimé, mercredi, que son sit-in annoncé devant l’Assemblée nationale et annulé est une ’’victoire tactique et politique’’.
C’est Pascal Affi N’guessan, président de cette coalition de treize partis politiques qui l’a annoncé au siège de son parti, le Front populaire ivoirien (FPI).
’’Nous pensons que le sit-in annulé et qui s’est transformé en une marche prévue pour le samedi, est une victoire tactique et politique’’, a déclaré M. Affi, expliquant que ’’l’AFD a marqué des points sans en encaisser’’.
Affi N’guessan s’est, également, réjoui d’avoir ’’ébranlé le pouvoir qui a compris qu’il avait en face une force avec laquelle il faut composer’’.
Selon lui, la lutte contre ’’la constitution dangereuse de Ouattara’’ se poursuit, appelant les Ivoiriens à ’’rester mobilisés pour participer à la marche de protestation contre la nouvelle Constitution’’, prévue pour le samedi prochain.
Mercredi, le président ivoirien Alassane Ouattara a défendu l’avant-projet d’une nouvelle Constitution devant les députés les invitant à y apporter des ’’amendements’’ avant de le soumettre à référendum.
HS/ls
C’est Pascal Affi N’guessan, président de cette coalition de treize partis politiques qui l’a annoncé au siège de son parti, le Front populaire ivoirien (FPI).
’’Nous pensons que le sit-in annulé et qui s’est transformé en une marche prévue pour le samedi, est une victoire tactique et politique’’, a déclaré M. Affi, expliquant que ’’l’AFD a marqué des points sans en encaisser’’.
Affi N’guessan s’est, également, réjoui d’avoir ’’ébranlé le pouvoir qui a compris qu’il avait en face une force avec laquelle il faut composer’’.
Selon lui, la lutte contre ’’la constitution dangereuse de Ouattara’’ se poursuit, appelant les Ivoiriens à ’’rester mobilisés pour participer à la marche de protestation contre la nouvelle Constitution’’, prévue pour le samedi prochain.
Mercredi, le président ivoirien Alassane Ouattara a défendu l’avant-projet d’une nouvelle Constitution devant les députés les invitant à y apporter des ’’amendements’’ avant de le soumettre à référendum.
HS/ls