Bouaké - L’attachée culturelle de l’ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire, Mme Katherine Diop, a instruit, jeudi, à Bouaké, des étudiants de l’université Alassane Ouattara sur le programme annuel "Young Africa Leaders Initiative (YALI)" de renforcement de capacités offert par le gouvernement américain aux jeunes leaders africains et les a invités à s’inscrire pour faire partie de la prochaine génération.
L’attachée culturelle a expliqué qu’il ne s’agit pas d’une formation académique sanctionnée par des diplômes universitaire mais un renforcement de capacités de six semaines dans quatre filières à savoir, l’entrepreneuriat, l’administration publique, la société civile et l’énergie qui offre plusieurs opportunités aux bénéficiaires notamment, un séjour gratuit aux États-Unis, une rencontre avec des centaines de jeunes leaders africains et l’appartenance à leur réseau ainsi que des échanges avec le président américain Barak Obama qui présidera le sommet de clôture de la formation.
«C’est un investissement pour votre avenir», a souligné, Mme Diop, invitant les jeunes à s’inscrire en remplissant les questionnaires avec beaucoup de sincérité pour éviter d’être rattrapés et éliminés par de fausses informations les concernant. Par ailleurs, elle a insisté sur la nécessité pour les candidats de savoir lire, écrire et parler couramment l’anglais.
Initié en 2010 par le gouvernement américain, le programme YALI est ouvert annuellement aux jeunes leaders africains âgés de 25 à 35 ans. Les candidats doivent fournir les arguments prouvant qu’ils sont leaders et préciser leur vision pour leur pays et l’Afrique. Pour cette année, les inscriptions débutées depuis le 21 septembre, prennent fin le 26 octobre et se font en ligne sur le site http: //yali.state.gov/.
Sur un effectif de 1000 personnes attendues, le nombre de places offertes aux jeunes ivoiriens pourraient atteindre la vingtaine, a annoncé Mme Diop, précisant que puis l’existence du programme, une quarantaine de jeunes leaders ivoiriens en ont déjà bénéficié.
nbf/kam
L’attachée culturelle a expliqué qu’il ne s’agit pas d’une formation académique sanctionnée par des diplômes universitaire mais un renforcement de capacités de six semaines dans quatre filières à savoir, l’entrepreneuriat, l’administration publique, la société civile et l’énergie qui offre plusieurs opportunités aux bénéficiaires notamment, un séjour gratuit aux États-Unis, une rencontre avec des centaines de jeunes leaders africains et l’appartenance à leur réseau ainsi que des échanges avec le président américain Barak Obama qui présidera le sommet de clôture de la formation.
«C’est un investissement pour votre avenir», a souligné, Mme Diop, invitant les jeunes à s’inscrire en remplissant les questionnaires avec beaucoup de sincérité pour éviter d’être rattrapés et éliminés par de fausses informations les concernant. Par ailleurs, elle a insisté sur la nécessité pour les candidats de savoir lire, écrire et parler couramment l’anglais.
Initié en 2010 par le gouvernement américain, le programme YALI est ouvert annuellement aux jeunes leaders africains âgés de 25 à 35 ans. Les candidats doivent fournir les arguments prouvant qu’ils sont leaders et préciser leur vision pour leur pays et l’Afrique. Pour cette année, les inscriptions débutées depuis le 21 septembre, prennent fin le 26 octobre et se font en ligne sur le site http: //yali.state.gov/.
Sur un effectif de 1000 personnes attendues, le nombre de places offertes aux jeunes ivoiriens pourraient atteindre la vingtaine, a annoncé Mme Diop, précisant que puis l’existence du programme, une quarantaine de jeunes leaders ivoiriens en ont déjà bénéficié.
nbf/kam
