Gagnoa - Le chef comptable de la marie de Gagnoa, Doumbia Abdoulaye, a indiqué mercredi à l’AIP , au premier jour de la grève de 72 heures initiée par le collectif des Syndicats Nationaux des Agents des Collectivités Territoriales de Côte d’Ivoire (SYNAPECOCI), qu'une perte sèche d’au moins 800 000 F CFA de recettes sera constatée à la fin de chaque journée par la mairie de Gagnoa.
Les recettes journalières sont issues de l’abattoir municipal, des marchés, des frais d’ensevelissement (cimetière) et de toutes sortes de collectes, dont celles de l’organisation des mariages et autres timbres municipaux pour tous actes administratifs, a expliqué le chef comptable, qui regrette que les 169 agents de la mairie de Gagnoa, régis par le code du travail, se soient vu suspendre depuis juin 2016, de l’augmentation salariale de 8%, pourtant régulièrement payé depuis avril 2016.
« C’est dommage pour cette perte, mais, c’est la seule approche que nous avons retenue, après plusieurs mois de discussions infructueuses avec l’autorité», a poursuivi le chef comptable, dont les propos ont été soutenus par Kohi Raphaël, secrétaire national adjoint du SYNAPECOCI et secrétaire régional pour le Gôh, précisant qu’il s’agit d’une grève sans service minimum, qui a respecté toutes les procédures légales en matière de préavis de grève.
Plus de 500 agents (à l’exception des fonctionnaires et agents de l’Etat, mutés dans les collectivités décentralisées) issus des mairies de Gagnoa, Guibéroua, Ouragahio, Oumé et Diégonéfla, ainsi que ceux du conseil régional du Gôh, sont concernés par cette grève.
dd/kam
Les recettes journalières sont issues de l’abattoir municipal, des marchés, des frais d’ensevelissement (cimetière) et de toutes sortes de collectes, dont celles de l’organisation des mariages et autres timbres municipaux pour tous actes administratifs, a expliqué le chef comptable, qui regrette que les 169 agents de la mairie de Gagnoa, régis par le code du travail, se soient vu suspendre depuis juin 2016, de l’augmentation salariale de 8%, pourtant régulièrement payé depuis avril 2016.
« C’est dommage pour cette perte, mais, c’est la seule approche que nous avons retenue, après plusieurs mois de discussions infructueuses avec l’autorité», a poursuivi le chef comptable, dont les propos ont été soutenus par Kohi Raphaël, secrétaire national adjoint du SYNAPECOCI et secrétaire régional pour le Gôh, précisant qu’il s’agit d’une grève sans service minimum, qui a respecté toutes les procédures légales en matière de préavis de grève.
Plus de 500 agents (à l’exception des fonctionnaires et agents de l’Etat, mutés dans les collectivités décentralisées) issus des mairies de Gagnoa, Guibéroua, Ouragahio, Oumé et Diégonéfla, ainsi que ceux du conseil régional du Gôh, sont concernés par cette grève.
dd/kam
