L’Ong Save The Children a procédé au lancement de la campagne nationale pour la scolarisation de la jeune fille, le mardi 11 lundi octobre 2016 à son siège à Cocody-Angré. Une conférence de presse avait été organisée la veille, lundi 10 octobre pour annoncer ce lancement officiel.
Profitant de cette occasion, Famari Barro, directeur pays de Save The Children en Côte d’Ivoire a fait un bref bilan des enquêtes sur le terrain. Il a révélé que pour l’année 2015, ce sont 1.265.310 enfants, en âge d’aller à l’école, hors du système scolaire qui ont été repérés dont 641.314 filles soit plus de 50% des enfants. « C’est pour lutter contre ce phénomène et accompagner le gouvernement dans la protection et l’éducation des filles que l’Ong a lancé le mardi 11 octobre 2016, la campagne nationale Save The Children », a-t-il annoncé. Cette campagne est placée sous le thème : « L’éducation : un droit aussi pour toutes les filles ». Selon le directeur pays, cette démarche découle de l’initiative de l’Ong Save The Children, qui a lancé depuis le 26 avril 2016, une campagne mondiale sur trois ans, intitulée « Aucun enfant oublié ». Au niveau national, la campagne bénéficiera de l’appui de Mariam Dao Gabala, qui en est l’Ambassadrice. Elle s’est engagée à apporter son soutien à cette campagne, afin que les parents comprennent que la jeune fille a les mêmes chances de scolarisation que le jeune garçon. « Je suis ce que je suis, parce que j’ai eu la chance d’aller à l’école. C’est parce que j’ai bénéficié d’une éducation qu’aujourd’hui j’apporte un plus au pays (…) J’ai accepté d’être l’Ambassadrice de cette campagne pour faire comprendre aux parents qu’éduquer une fille, c’est non seulement pour la Côte d’Ivoire, mais aussi pour eux-mêmes (…) Je compte apporter mon engagement, ma vision, mon temps, ma solidarité pour que ce message soit entendu de tous et surtout par les parents du Nord de la Côte d’Ivoire, où le taux de scolarisation de la jeune fille est très faible (…) La Côte d’Ivoire ne peut se développer, ni atteindre l’émergence si cette frange de la population est mise à l’écart », a assuré l’Ambassadrice Mariam Dao Gabala. Pour Jackson Atam, directeur de la qualité des programmes et du plaidoyer de l’Ong, la place de la jeune fille n’est ni dans les marchés, ni dans les travaux domestiques, ni dans la rue, mais plutôt à l’école.
ROK
Profitant de cette occasion, Famari Barro, directeur pays de Save The Children en Côte d’Ivoire a fait un bref bilan des enquêtes sur le terrain. Il a révélé que pour l’année 2015, ce sont 1.265.310 enfants, en âge d’aller à l’école, hors du système scolaire qui ont été repérés dont 641.314 filles soit plus de 50% des enfants. « C’est pour lutter contre ce phénomène et accompagner le gouvernement dans la protection et l’éducation des filles que l’Ong a lancé le mardi 11 octobre 2016, la campagne nationale Save The Children », a-t-il annoncé. Cette campagne est placée sous le thème : « L’éducation : un droit aussi pour toutes les filles ». Selon le directeur pays, cette démarche découle de l’initiative de l’Ong Save The Children, qui a lancé depuis le 26 avril 2016, une campagne mondiale sur trois ans, intitulée « Aucun enfant oublié ». Au niveau national, la campagne bénéficiera de l’appui de Mariam Dao Gabala, qui en est l’Ambassadrice. Elle s’est engagée à apporter son soutien à cette campagne, afin que les parents comprennent que la jeune fille a les mêmes chances de scolarisation que le jeune garçon. « Je suis ce que je suis, parce que j’ai eu la chance d’aller à l’école. C’est parce que j’ai bénéficié d’une éducation qu’aujourd’hui j’apporte un plus au pays (…) J’ai accepté d’être l’Ambassadrice de cette campagne pour faire comprendre aux parents qu’éduquer une fille, c’est non seulement pour la Côte d’Ivoire, mais aussi pour eux-mêmes (…) Je compte apporter mon engagement, ma vision, mon temps, ma solidarité pour que ce message soit entendu de tous et surtout par les parents du Nord de la Côte d’Ivoire, où le taux de scolarisation de la jeune fille est très faible (…) La Côte d’Ivoire ne peut se développer, ni atteindre l’émergence si cette frange de la population est mise à l’écart », a assuré l’Ambassadrice Mariam Dao Gabala. Pour Jackson Atam, directeur de la qualité des programmes et du plaidoyer de l’Ong, la place de la jeune fille n’est ni dans les marchés, ni dans les travaux domestiques, ni dans la rue, mais plutôt à l’école.
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