Après le succès du Programme National d’Investissement Agricole (PNIA1), une deuxième phase lancé jeudi à Abidjan par le Premier Ministre Daniel Kablan DUNCAN en présence du Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural Mamadou Sangafowa COULIBALY .
Il s’est agi de réfléchir à la mise en place de stratégie et à l’élaboration de nouveaux projets au bénéfice des acteurs du monde paysan après le bilan de la phase 1.
On note pour l’essentiel, l’augmentation des productions et l’amélioration des conditions de vie des paysans puisque 5652 Milliards de FCFA ont été distribués au monde paysan en 2015.
Satisfecit et félicitation du 1er Ministre Daniel Kablan DUNCAN à l’endroit du Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural Mamadou Sangafowa COULIBALY porteur du PNIA, Programme National d’Investissement Agricole.
Le PNIA 1 a permis l’augmentation des productions agricoles. On enregistre plus de 17 Millions de tonnes de produits vivriers en 2015 contre 11.886 tonnes en 2012.
Au niveau des cultures de rentes, la production est passée de plus de 4.900.000 tonnes en 2012 à plus de 5.900.000 tonnes en 2015.
Des performances qui ont permis à la Côte d’Ivoire d’être 1er producteur mondial de cacao, de noix de cajou et de cola.
Mieux, les réformes initiées ont permis à l’Etat de distribuer au monde paysan la somme de 5652 Milliards de FCFA en 2015 contre 3362 Milliards de Francs en 2012.
Pour la 2ème phase du PNIA, le Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural la prise » souhaite une intégration des questions de production avec maitrise totale de l’eau, de mécanisation agricole, de formation professionnelle, de commercialisation et de valorisation des produits agricoles sur place.
Ce système d’agropole intègre les autres services sociaux de base (eau, électricité, santé et éducation) ainsi que les services TIC et la finance de proximité.
Le PNIA 2 couvre la période 2017-2021. Les sous programmes, les projets spécifiques et les actions prioritaires du Programme seront disponibles en mars 2017 après analyse des forces et faiblesses du PNIA 1.
Aucun doute que cette seconde phase du PNIA aboutira à la transformation structurelle de notre économie agricole.
Il s’est agi de réfléchir à la mise en place de stratégie et à l’élaboration de nouveaux projets au bénéfice des acteurs du monde paysan après le bilan de la phase 1.
On note pour l’essentiel, l’augmentation des productions et l’amélioration des conditions de vie des paysans puisque 5652 Milliards de FCFA ont été distribués au monde paysan en 2015.
Satisfecit et félicitation du 1er Ministre Daniel Kablan DUNCAN à l’endroit du Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural Mamadou Sangafowa COULIBALY porteur du PNIA, Programme National d’Investissement Agricole.
Le PNIA 1 a permis l’augmentation des productions agricoles. On enregistre plus de 17 Millions de tonnes de produits vivriers en 2015 contre 11.886 tonnes en 2012.
Au niveau des cultures de rentes, la production est passée de plus de 4.900.000 tonnes en 2012 à plus de 5.900.000 tonnes en 2015.
Des performances qui ont permis à la Côte d’Ivoire d’être 1er producteur mondial de cacao, de noix de cajou et de cola.
Mieux, les réformes initiées ont permis à l’Etat de distribuer au monde paysan la somme de 5652 Milliards de FCFA en 2015 contre 3362 Milliards de Francs en 2012.
Pour la 2ème phase du PNIA, le Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural la prise » souhaite une intégration des questions de production avec maitrise totale de l’eau, de mécanisation agricole, de formation professionnelle, de commercialisation et de valorisation des produits agricoles sur place.
Ce système d’agropole intègre les autres services sociaux de base (eau, électricité, santé et éducation) ainsi que les services TIC et la finance de proximité.
Le PNIA 2 couvre la période 2017-2021. Les sous programmes, les projets spécifiques et les actions prioritaires du Programme seront disponibles en mars 2017 après analyse des forces et faiblesses du PNIA 1.
Aucun doute que cette seconde phase du PNIA aboutira à la transformation structurelle de notre économie agricole.