Les agents municipaux de Côte d’Ivoire ont repris lundi du service, après avoir entamé mercredi une grève générale de trois jours dans l’ensemble des mairies pour réclamer le déblocage de leurs salaires et un avancement de 8 %, a constaté un journaliste de ALERTE INFO.
"Nous sommes au travail (Nldr) parce que pendant que nous étions en grève, nos responsables ont été reçus par le ministère de tutelle qui a donné avis favorable à nos revendications", s’exclame tout heureux Jean-Pierre Koffi, du service communication, à la mairie de Yamoussoukro (Centre ivoirien).
"Selon le Collectif national des syndicats des agents des collectivités territoriales de Côte d’Ivoire, le ministre Moussa Dosso qui a signé les documents nous accordant l’avancement de 8 % et le déblocage de nos salaires, a demandé un moratoire d’un mois pour que les choses soient vraiment effectives", a expliqué M. Timothée, au service fiscalité à la mairie de Cocody (Est Abidjan).
De mercredi à vendredi, les agents municipaux de Côte d’Ivoire ont observé une grève générale sur toute l’étendue du territoire national, pour réclamer "le paiement de plusieurs années d’arriérés de salaire, qui s’élèvent à 18 milliards de FCFA, au titre de l’exercice effectué dans les ex-zones Centre, Nord, Ouest" (CNO), au moment de la partition du pays, entre 2002 et 2010.
Le Collectif des syndicats a souhaité également que soit virée régulièrement sur les salaires des agents, l’augmentation de 8 % accordée par le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, en début d’année et dont le paiement a été suspendu par le Trésor public depuis le mois de juin.
La Côte d'Ivoire compte 205 communes et chacune d'elle emploie en moyenne une centaine d'agents qui sont souvent entrés en grève depuis le début des années 2000 pour "réclamer de meilleures conditions de travail".
ATI
"Nous sommes au travail (Nldr) parce que pendant que nous étions en grève, nos responsables ont été reçus par le ministère de tutelle qui a donné avis favorable à nos revendications", s’exclame tout heureux Jean-Pierre Koffi, du service communication, à la mairie de Yamoussoukro (Centre ivoirien).
"Selon le Collectif national des syndicats des agents des collectivités territoriales de Côte d’Ivoire, le ministre Moussa Dosso qui a signé les documents nous accordant l’avancement de 8 % et le déblocage de nos salaires, a demandé un moratoire d’un mois pour que les choses soient vraiment effectives", a expliqué M. Timothée, au service fiscalité à la mairie de Cocody (Est Abidjan).
De mercredi à vendredi, les agents municipaux de Côte d’Ivoire ont observé une grève générale sur toute l’étendue du territoire national, pour réclamer "le paiement de plusieurs années d’arriérés de salaire, qui s’élèvent à 18 milliards de FCFA, au titre de l’exercice effectué dans les ex-zones Centre, Nord, Ouest" (CNO), au moment de la partition du pays, entre 2002 et 2010.
Le Collectif des syndicats a souhaité également que soit virée régulièrement sur les salaires des agents, l’augmentation de 8 % accordée par le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, en début d’année et dont le paiement a été suspendu par le Trésor public depuis le mois de juin.
La Côte d'Ivoire compte 205 communes et chacune d'elle emploie en moyenne une centaine d'agents qui sont souvent entrés en grève depuis le début des années 2000 pour "réclamer de meilleures conditions de travail".
ATI