Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le projet Routes Maritimes Critiques dans le Golfe de Guinée (CRIMGO) financé par l’Union européenne (UE) dans le cadre de la lutte contre les trafics de tout genre en milieu maritime a pris fin, jeudi à Abidjan, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« C’est un projet doté de 4,5 millions d’euros qui ont été utilisés au cours de ces 4 années dans différentes thématiques. Un des axes, c’était le soutien direct au centre d’action de coordination à Yaoundé Cameroun, un autre c’était la formation aussi bien à l’Académie régionale des sciences et techniques de la mer (ARSTM) qu’à Accra », a expliqué Eric Glotin chargé de formation de cet projet.
« Ces formations rassemblaient des cadres venus de 10 pays différents policiers gendarmes, douanes. C’était les entrainements à la gestion de crises maritimes proposé aux différents pays du Golfe de Guinée naufrage de bateau, lutte contre la criminalité», a ajouté le formateur.
« L’Union européenne considère que les questions maritimes sont très importantes à près de tout la mer c’est ¾ du globe et elle est de plus en plus fréquentée.
Elle est le vecteur important en matière de transport, commercial, économique », s’est félicité Philippe Willaert de la section politique de la délégation de l’Union européenne à Abidjan.
« On est dans la ligne de cette volonté des pays africains…ça prouve qu’ils sont très conscients », a souligné M. Willart qui a salué le sommet de l’union Africaine sur la sécurité maritime qui s’est tenu le 15 octobre dernier.
La fin du projet marque le début d’un autre, en fin novembre, baptisé GOGIN. D’une durée de 48 mois, il couvrira 19 pays côtiers du Golf de Guinée, du Sénégal à l’Angola.
Représentant le ministre ivoirien des affaires étrangères, Mathurin Kouadio Kouakou a salué « tous les acteurs et partenaires qui ont voulu apporter leur précieux soutien aux efforts de l’Afrique dans la lutte contre les actes de piraterie et les trafics de drogue, d’armes et d’êtres humains sur les côtes africaines ».
LS
« C’est un projet doté de 4,5 millions d’euros qui ont été utilisés au cours de ces 4 années dans différentes thématiques. Un des axes, c’était le soutien direct au centre d’action de coordination à Yaoundé Cameroun, un autre c’était la formation aussi bien à l’Académie régionale des sciences et techniques de la mer (ARSTM) qu’à Accra », a expliqué Eric Glotin chargé de formation de cet projet.
« Ces formations rassemblaient des cadres venus de 10 pays différents policiers gendarmes, douanes. C’était les entrainements à la gestion de crises maritimes proposé aux différents pays du Golfe de Guinée naufrage de bateau, lutte contre la criminalité», a ajouté le formateur.
« L’Union européenne considère que les questions maritimes sont très importantes à près de tout la mer c’est ¾ du globe et elle est de plus en plus fréquentée.
Elle est le vecteur important en matière de transport, commercial, économique », s’est félicité Philippe Willaert de la section politique de la délégation de l’Union européenne à Abidjan.
« On est dans la ligne de cette volonté des pays africains…ça prouve qu’ils sont très conscients », a souligné M. Willart qui a salué le sommet de l’union Africaine sur la sécurité maritime qui s’est tenu le 15 octobre dernier.
La fin du projet marque le début d’un autre, en fin novembre, baptisé GOGIN. D’une durée de 48 mois, il couvrira 19 pays côtiers du Golf de Guinée, du Sénégal à l’Angola.
Représentant le ministre ivoirien des affaires étrangères, Mathurin Kouadio Kouakou a salué « tous les acteurs et partenaires qui ont voulu apporter leur précieux soutien aux efforts de l’Afrique dans la lutte contre les actes de piraterie et les trafics de drogue, d’armes et d’êtres humains sur les côtes africaines ».
LS