Abidjan, L'amélioration de l'administration de la justice ivoirienne, "dans un sens global incluant les tribunaux", est une priorité du projet ProJustice, a révélé le chef de projet, Daniel Dobrovoljec, intervenant, jeudi, à "La Tribune de l'AIP", sur la thématique "la coopération technique entre les Gouvernements américain et ivoirien en matière de justice: le cas de ProJustice".
Cette amélioration de l'administration de la justice, selon M. Dobrovoljec, devra contribuer à créer un climat de confiance des usagers ainsi que favoriser leur accès aux services judiciaires, non sans relever les quelques griefs évoqués par les justiciables à l'encontre de la justice, notamment la "lenteur" dans le traitement des dossiers et des "cas de corruption".
"Il est important d’améliorer cette image et de garantir une perception positive de la justice en Côte d’Ivoire tant pour les Ivoiriens que pour les investisseurs étrangers, a souligné le chef de projet ProJustice, préconisant "une meilleure transparence dans les activités des structures de la justice, une bonne écoute des préoccupations des usagers, une meilleure connaissance du mécanisme juridique, une communication améliorée avec les usagers, un traitement plus juste et rapide des dossiers des justiciables".
Le projet Projustice a démarré en 2013 et devra s'achever en avril 2018, après cinq ans de mise en oeuvre. Il a été initié suite à un accord entre les gouvernements ivoirien et américain d’apporter un appui technique à la mise en place du processus de réforme et de modernisation du système judiciaire ivoirien.
(AIP)
tad/akn/ask
Cette amélioration de l'administration de la justice, selon M. Dobrovoljec, devra contribuer à créer un climat de confiance des usagers ainsi que favoriser leur accès aux services judiciaires, non sans relever les quelques griefs évoqués par les justiciables à l'encontre de la justice, notamment la "lenteur" dans le traitement des dossiers et des "cas de corruption".
"Il est important d’améliorer cette image et de garantir une perception positive de la justice en Côte d’Ivoire tant pour les Ivoiriens que pour les investisseurs étrangers, a souligné le chef de projet ProJustice, préconisant "une meilleure transparence dans les activités des structures de la justice, une bonne écoute des préoccupations des usagers, une meilleure connaissance du mécanisme juridique, une communication améliorée avec les usagers, un traitement plus juste et rapide des dossiers des justiciables".
Le projet Projustice a démarré en 2013 et devra s'achever en avril 2018, après cinq ans de mise en oeuvre. Il a été initié suite à un accord entre les gouvernements ivoirien et américain d’apporter un appui technique à la mise en place du processus de réforme et de modernisation du système judiciaire ivoirien.
(AIP)
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