Abidjan - Les prochaines élections législatives en Côte
d’Ivoire auront lieu le 18 décembre, a annoncé jeudi le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Koné.
"Sur proposition de la Commission électorale indépendante (CEI)", les élections auront lieu "dimanche 18 décembre" avec ouverture des bureaux de vote à 8h00 et clôture à 18h00. Les législatives étaient prévues avant la fin de l’année mais leur date n’avait pas été fixée.
Le ministre a précisé que les dates de la campagne et d’autres éléments seront donnés ultérieurement.
Les législatives sont à tour unique en Côte d’Ivoire, le candidat arrivant en tête étant élu député.
La coalition au pouvoir dispose actuellement d’une majorité écrasante, l’opposition avait boycotté les législatives de 2011 (90% des 250 députés sont dans la mouvance présidentielle).
Réélu pour un deuxième quinquennat fin 2015, le président Alassane Ouattara avait choisi de laisser courir jusqu’à leur fin les mandats des députés.
L’opposition, qui a boycotté dimanche dernier le référendum sur la nouvelle constitution, a cette fois décidé de participer aux législatives, comme l’a rappelé à plusieurs reprises Pascal Affi Nguessan, président du principal parti d’opposition, le Front populaire ivoirien (FPI) fondé par l’ancien président Laurent Gbagbo.
"La bataille à venir c’est de mobiliser pour conquérir l’Assemblée nationale", a-t-il dit à l’AFP mardi.
pgf/jlb
d’Ivoire auront lieu le 18 décembre, a annoncé jeudi le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Koné.
"Sur proposition de la Commission électorale indépendante (CEI)", les élections auront lieu "dimanche 18 décembre" avec ouverture des bureaux de vote à 8h00 et clôture à 18h00. Les législatives étaient prévues avant la fin de l’année mais leur date n’avait pas été fixée.
Le ministre a précisé que les dates de la campagne et d’autres éléments seront donnés ultérieurement.
Les législatives sont à tour unique en Côte d’Ivoire, le candidat arrivant en tête étant élu député.
La coalition au pouvoir dispose actuellement d’une majorité écrasante, l’opposition avait boycotté les législatives de 2011 (90% des 250 députés sont dans la mouvance présidentielle).
Réélu pour un deuxième quinquennat fin 2015, le président Alassane Ouattara avait choisi de laisser courir jusqu’à leur fin les mandats des députés.
L’opposition, qui a boycotté dimanche dernier le référendum sur la nouvelle constitution, a cette fois décidé de participer aux législatives, comme l’a rappelé à plusieurs reprises Pascal Affi Nguessan, président du principal parti d’opposition, le Front populaire ivoirien (FPI) fondé par l’ancien président Laurent Gbagbo.
"La bataille à venir c’est de mobiliser pour conquérir l’Assemblée nationale", a-t-il dit à l’AFP mardi.
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