Des instituteurs, issus de plusieurs syndicats regroupés au sein de l’Intersyndicale de l’enseignement préscolaire et primaire de Côte d’Ivoire (ISEPP-CI), ont entamé lundi une grève de cinq jours pour "exiger" du gouvernement ivoirien, le paiement "d’arriérés liés à l’indemnité de logement", a constaté un journaliste de ALERTE INFO
Des écoles primaires publiques d'Abidjan, la capitale économique, et de plusieurs autres villes notamment Bouaké (Centre), Guiglo (Ouest) sont restées fermées lundi selon des enseignants joints par téléphone par ALERTE INFO
Le 26 octobre l’ISEPP-CI a déposé un préavis de grève pour des réclamations portant sur huit points dont "le paiement de la totalité des arriérés liés à l’indemnité de logement et à la bonification indiciaire", "le retrait" de la réforme réinstaurant les cours de mercredi et de l’ordonnance organisant les "régimes des pensions".
Les enseignants estiment que cette ordonnance d’avril 2012 leur "fait cotiser plus, pour une pension de retraite réduite de moitié". "Cette grève concerne tout le monde", affirme un instituteur de Zuénoula, Centre ouest ivoirien rappelant la loi Travail qui a provoqué en mars en France des "manifestations d'étudiants".
L'Intersyndicale exige aussi que les cotisations syndicales ne soient pas prélevées à la source contrairement à la demande, il y a environ deux mois, de quatre syndicats d’enseignants favorables au cours de mercredi au ministre de la Fonction publique, Pascal Abinan.
"La grève sera renouvelée la semaine prochaine si rien n’est fait", a averti un enseignant de Soubré (Ouest).
MIR
Des écoles primaires publiques d'Abidjan, la capitale économique, et de plusieurs autres villes notamment Bouaké (Centre), Guiglo (Ouest) sont restées fermées lundi selon des enseignants joints par téléphone par ALERTE INFO
Le 26 octobre l’ISEPP-CI a déposé un préavis de grève pour des réclamations portant sur huit points dont "le paiement de la totalité des arriérés liés à l’indemnité de logement et à la bonification indiciaire", "le retrait" de la réforme réinstaurant les cours de mercredi et de l’ordonnance organisant les "régimes des pensions".
Les enseignants estiment que cette ordonnance d’avril 2012 leur "fait cotiser plus, pour une pension de retraite réduite de moitié". "Cette grève concerne tout le monde", affirme un instituteur de Zuénoula, Centre ouest ivoirien rappelant la loi Travail qui a provoqué en mars en France des "manifestations d'étudiants".
L'Intersyndicale exige aussi que les cotisations syndicales ne soient pas prélevées à la source contrairement à la demande, il y a environ deux mois, de quatre syndicats d’enseignants favorables au cours de mercredi au ministre de la Fonction publique, Pascal Abinan.
"La grève sera renouvelée la semaine prochaine si rien n’est fait", a averti un enseignant de Soubré (Ouest).
MIR