Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le Président de l'Union pour le développement et les libertés (UDL, opposition), Martial Joseph Ahipeaud a été entendu, mardi soir, par la brigade de recherche de la gendarmerie sur ses propos tenus lors du meeting organisé par le Front du refus de la nouvelle constitution le samedi 5 novembre dernier à la place Ficgayo de Yopougon (Ouest d’Abidjan).
« Le fascisme en marche! Je viens de finir mon audition à la brigade de recherche de la gendarmerie nationale sur mes propos tenus lors du meeting de Yop », a écrit M. Ahipeaud sur sa page Facebook. «Dites-leur que leur intimidation ne passera pas. On ne lâchera rien», a-t-il ajouté.
Le leader de la Coalition nationale pour le changement (CNC), par ailleurs, membre du Front du refus conteste la nouvelle Constitution ivoirienne promulguée mardi après-midi, par le chef de l’Etat Alassane Ouattara et promet d’aller jusqu’au bout.
«On ira jusqu'à la Haute Cour de la CEDEAO et à l'ONU pour dénoncer cette forfaiture de constitution. La lutte ne fait que commencer et le fascisme ne passera pas », insiste l’ex-dirigeant de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI).
Martial Ahipeaud est le quatrième leader de l’opposition à être entendu depuis samedi après Mamadou Koulibay, Abou Drahamane Sangaré et Moriféré Bamba.
La Constitution promulguée mardi par le Président Alassane Ouattara a été votée à 93,42% pour le oui contre 6,58% pour le non avec un taux de participation de 42,42%.
PIGFE/ls/APA
« Le fascisme en marche! Je viens de finir mon audition à la brigade de recherche de la gendarmerie nationale sur mes propos tenus lors du meeting de Yop », a écrit M. Ahipeaud sur sa page Facebook. «Dites-leur que leur intimidation ne passera pas. On ne lâchera rien», a-t-il ajouté.
Le leader de la Coalition nationale pour le changement (CNC), par ailleurs, membre du Front du refus conteste la nouvelle Constitution ivoirienne promulguée mardi après-midi, par le chef de l’Etat Alassane Ouattara et promet d’aller jusqu’au bout.
«On ira jusqu'à la Haute Cour de la CEDEAO et à l'ONU pour dénoncer cette forfaiture de constitution. La lutte ne fait que commencer et le fascisme ne passera pas », insiste l’ex-dirigeant de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI).
Martial Ahipeaud est le quatrième leader de l’opposition à être entendu depuis samedi après Mamadou Koulibay, Abou Drahamane Sangaré et Moriféré Bamba.
La Constitution promulguée mardi par le Président Alassane Ouattara a été votée à 93,42% pour le oui contre 6,58% pour le non avec un taux de participation de 42,42%.
PIGFE/ls/APA