«Sois sans crainte. Nous sommes-là». Eddie Anon, secrétaire général de la chefferie d’Abié, a tenu ces propos, dimanche dernier, lors de la visite de la secrétaire générale et porte-parole du Front populaire (Fpi), dans la localité. Il entendait ainsi rassurer l’hôte du jour par rapport à l’annonce de sa candidature aux législatives d’Agou, dans le département d’Adzopé.
Eddie Anon s’est dit agréablement surpris de savoir que le Front populaire ivoirien (Fpi) soit présent sur la scène politique après les événements qui ont conduit à la tuerie de plusieurs dizaines de personnes et l’emprisonnement de nombreux dignitaires du Fpi, au nombre desquels l’ancien président Laurent Gbagbo. «Nous sommes heureux de savoir que le Fpi soit encore là et qu’il aspire à aller à la bataille des législatives. En tout cas, nous avons pris bonne note», dira-t-il. Et un responsable de la chefferie d’affirmer : «Vous serez élue à 200 % ». Une réaction qui a suscité des applaudissements lors de la rencontre.
Agnès Monnet a avancé qu’elle est candidate à la candidature du Front populaire ivoirien à Agou. Elle a indiqué que cette candidature est la volonté du Fpi de prendre part à ce scrutin pour défendre les intérêts des populations ivoiriennes. Comme à toutes ses rencontres précédentes, elle a expliqué que le Fpi, sous la houlette de son président Pascal Affi N’Guessan, a décidé de ne pas fuir les difficultés. Mais plutôt de les affronter pour changer la donne. «C’est en étant dans le jeu politique que nous comptons travailler à faire bouger les lignes et améliorer les conditions de vie des Ivoiriens», dira-t-elle. A titre illustratif, elle a soutenu que l’avant-projet de loi sur la nouvelle Constitution aurait pu connaître un autre sort si l’opposition était représentée au parlement. « Je veux être députée pour défendre vos points de vue sur les grands débats qui touchent à l’avenir du pays », a-t-elle indiqué.
Mme Monnet a rappelé à ses parents qu’elle n’est pas une nouvelle venue sur la scène politique. «Vous me connaissez. J’ai été maire à Agou. Et depuis des années, je suis membre de la direction du Fpi», a-t-elle soutenu.
La candidate à la candidature du Fpi Agou et son équipe ont rencontré successivement les membres de l’Association des femmes d’Abié 1, les retraités, les jeunes et les fonctionnaires. Elle a présenté sa candidature et demandé aux uns et aux autres de se tenir prêts. La rencontre avec les femmes et les jeunes s’est déroulée dans une ambiance festive. Poussant la secrétaire générale à esquisser des pas de danse.
Après Abié 1 et Abié 2, Agnès Monnet s’est rendue à Mopé. Décor et ambiance similaires. Mobilisation et ferveur des populations.
César ébrokié
Envoyé spécial
Eddie Anon s’est dit agréablement surpris de savoir que le Front populaire ivoirien (Fpi) soit présent sur la scène politique après les événements qui ont conduit à la tuerie de plusieurs dizaines de personnes et l’emprisonnement de nombreux dignitaires du Fpi, au nombre desquels l’ancien président Laurent Gbagbo. «Nous sommes heureux de savoir que le Fpi soit encore là et qu’il aspire à aller à la bataille des législatives. En tout cas, nous avons pris bonne note», dira-t-il. Et un responsable de la chefferie d’affirmer : «Vous serez élue à 200 % ». Une réaction qui a suscité des applaudissements lors de la rencontre.
Agnès Monnet a avancé qu’elle est candidate à la candidature du Front populaire ivoirien à Agou. Elle a indiqué que cette candidature est la volonté du Fpi de prendre part à ce scrutin pour défendre les intérêts des populations ivoiriennes. Comme à toutes ses rencontres précédentes, elle a expliqué que le Fpi, sous la houlette de son président Pascal Affi N’Guessan, a décidé de ne pas fuir les difficultés. Mais plutôt de les affronter pour changer la donne. «C’est en étant dans le jeu politique que nous comptons travailler à faire bouger les lignes et améliorer les conditions de vie des Ivoiriens», dira-t-elle. A titre illustratif, elle a soutenu que l’avant-projet de loi sur la nouvelle Constitution aurait pu connaître un autre sort si l’opposition était représentée au parlement. « Je veux être députée pour défendre vos points de vue sur les grands débats qui touchent à l’avenir du pays », a-t-elle indiqué.
Mme Monnet a rappelé à ses parents qu’elle n’est pas une nouvelle venue sur la scène politique. «Vous me connaissez. J’ai été maire à Agou. Et depuis des années, je suis membre de la direction du Fpi», a-t-elle soutenu.
La candidate à la candidature du Fpi Agou et son équipe ont rencontré successivement les membres de l’Association des femmes d’Abié 1, les retraités, les jeunes et les fonctionnaires. Elle a présenté sa candidature et demandé aux uns et aux autres de se tenir prêts. La rencontre avec les femmes et les jeunes s’est déroulée dans une ambiance festive. Poussant la secrétaire générale à esquisser des pas de danse.
Après Abié 1 et Abié 2, Agnès Monnet s’est rendue à Mopé. Décor et ambiance similaires. Mobilisation et ferveur des populations.
César ébrokié
Envoyé spécial