La Commission nationale de la Famille a demandé aux enseignants d’arrêter la grève entamée lundi dernier suite à l’appel de leurs syndicats et de reprendre le chemin du travail.
Membre de la Commission nationale de la Famille, et troisième vice président de la chambre nationale des rois et chefs traditionnels, Nanan Dodo N'Depo Didas, a exprimé à travers une déclaration au nom de la commission son inquiétude face à une situation déplorable pour la formation scolaire des enfants et appelé à la compréhension de tous.
Selon lui, son adresse vise particulièrement les enseignants du ministère de l'éducation nationale en vue de reconsidérer les intérêts de tous les enfants de Côte d’ivoire dans un climat pacifié.
« L’école ivoirienne traverse en ce moment une période sensible due aux grèves observées par les enseignants (…) cette situation, si l’on n’y prend garde, pourrait mettre à mal le système éducatif », a-t-il déploré, recommandant aux enseignants « d’intégrer le cadre de discussion créé à cet effet pour discuter, dialoguer avec les autorités gouvernementales, selon les valeurs de respect, du sens de la responsabilité et l’amour du prochain ».
Il exhorte aussi les parents d’élèves et tous les autres acteurs du système éducatif à œuvrer pour que les élèves qui sont leurs « enfants » ne payent pas davantage pour leurs « incompréhensions ».
C.K
Membre de la Commission nationale de la Famille, et troisième vice président de la chambre nationale des rois et chefs traditionnels, Nanan Dodo N'Depo Didas, a exprimé à travers une déclaration au nom de la commission son inquiétude face à une situation déplorable pour la formation scolaire des enfants et appelé à la compréhension de tous.
Selon lui, son adresse vise particulièrement les enseignants du ministère de l'éducation nationale en vue de reconsidérer les intérêts de tous les enfants de Côte d’ivoire dans un climat pacifié.
« L’école ivoirienne traverse en ce moment une période sensible due aux grèves observées par les enseignants (…) cette situation, si l’on n’y prend garde, pourrait mettre à mal le système éducatif », a-t-il déploré, recommandant aux enseignants « d’intégrer le cadre de discussion créé à cet effet pour discuter, dialoguer avec les autorités gouvernementales, selon les valeurs de respect, du sens de la responsabilité et l’amour du prochain ».
Il exhorte aussi les parents d’élèves et tous les autres acteurs du système éducatif à œuvrer pour que les élèves qui sont leurs « enfants » ne payent pas davantage pour leurs « incompréhensions ».
C.K