La huitième réunion des chefs des services de renseignement des pays Sahélo-sahariens s’est ouverte, lundi, à Grand-Bassam, ville balnéaire ivoirienne située à quelque 20 km au Sud d’Abidjan et ayant subi une attaque terroriste en mars dernier, a constaté APA sur place.
L’ouverture s’est déroulée en présence du ministre ivoirien de l’intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur Ally Coulibaly et de l’ancien président du Burundi, Pierre Buyoya, chef de la Mission africaine pour le Mali et le Sahel (Misahel).
Cette rencontre, la huitième du genre, s’inscrit dans le cadre du processus de Nouakchott mis en marche en mars 2013.
Selon le Commissaire Paix et sécurité de l’Union Africaine, Chergui Smaïl, elle permettra de passer en revue la situation sécuritaire de la région, à faire l’état de la mise en œuvre du processus de Nouakchott et à faire un point des activités de l’Unité et de liaison de l’UA.
Il s’agit en clair, pour les participants à cette rencontre, de renforcer la coopération entre les différents services de renseignement des pays de la région en matière de sécurité.
Car, à en croire, le ministre ivoirien de l’intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur Ally Coulibaly «le terrorisme est une menace réelle qui se joue des frontières », d’où la nécessité de mutualiser les efforts. « La coopération devient une nécessité impérieuse », a-t-il ajouté.
Abondant dans le même sens, le Commissaire Paix et sécurité de l’UA a martelé avec insistance que « face au terrorisme, il n’y a pas d’alternative à l’effort collectif ». Pour lui, « ce genre de rencontre d’échange d’informations devrait permettre de rassurer d’avantages les populations et isoler au maximum les terroristes ».
A l’entame de cette rencontre, les participants n’ont pas perdu le souvenir de ce qu’il y a huit mois (13 mars 2016), la ville classée patrimoine de l’Unesco subissait une attaque terrorisme qui a fait une vingtaine de morts. Ils ont déposé une gerbe de fleurs sur les lieux en hommage aux victimes.
PIGFE/ls/APA
L’ouverture s’est déroulée en présence du ministre ivoirien de l’intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur Ally Coulibaly et de l’ancien président du Burundi, Pierre Buyoya, chef de la Mission africaine pour le Mali et le Sahel (Misahel).
Cette rencontre, la huitième du genre, s’inscrit dans le cadre du processus de Nouakchott mis en marche en mars 2013.
Selon le Commissaire Paix et sécurité de l’Union Africaine, Chergui Smaïl, elle permettra de passer en revue la situation sécuritaire de la région, à faire l’état de la mise en œuvre du processus de Nouakchott et à faire un point des activités de l’Unité et de liaison de l’UA.
Il s’agit en clair, pour les participants à cette rencontre, de renforcer la coopération entre les différents services de renseignement des pays de la région en matière de sécurité.
Car, à en croire, le ministre ivoirien de l’intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur Ally Coulibaly «le terrorisme est une menace réelle qui se joue des frontières », d’où la nécessité de mutualiser les efforts. « La coopération devient une nécessité impérieuse », a-t-il ajouté.
Abondant dans le même sens, le Commissaire Paix et sécurité de l’UA a martelé avec insistance que « face au terrorisme, il n’y a pas d’alternative à l’effort collectif ». Pour lui, « ce genre de rencontre d’échange d’informations devrait permettre de rassurer d’avantages les populations et isoler au maximum les terroristes ».
A l’entame de cette rencontre, les participants n’ont pas perdu le souvenir de ce qu’il y a huit mois (13 mars 2016), la ville classée patrimoine de l’Unesco subissait une attaque terrorisme qui a fait une vingtaine de morts. Ils ont déposé une gerbe de fleurs sur les lieux en hommage aux victimes.
PIGFE/ls/APA