Bongouanou (Côte d'Ivoire) - Le gouvernement ivoirien a appelé mardi, les enseignants « à mettre fin durablement aux grèves qui perturbent l’école » et fragilisent par la même occasion la cohésion sociale dans le pays.
Cet appel a été lancé par plusieurs membres du gouvernement dont le premier ministre, Daniel Kablan Ducan, lors de la 20ème édition de la Journée nationale de la paix autour de la thématique « une école citoyenne au service de la paix » dans la ville de Bongouanou (Centre-Est) du pays.
« J’appelle les enseignants à tous les niveaux à reconnaître les efforts importants du gouvernement et à mettre fin aux grèves qui perturbent l’école rappelant que leur responsabilité citoyenne est grande », a lancé,d’un ton ferme, le chef du gouvernement ivoirien à ses acteurs de
l’éducation nationale qui ont observés ces dernières semaines des mouvements de grèves.
Le premier ministre ivoirien a regretté que l’école soit la porte d’entrée de la violence en Côte d’Ivoire.
« La violence, dans l’histoire récente de notre pays est rentrée par l’école», a fait remarquer M.Duncan.
Pour lui, il est « impératif d’éviter les actes de violences ». A son tour, la ministre de la solidarité, de la cohésion sociale et de l’indemnisation des victimes, Pr Mariatou Koné a soutenu que « les nombreuses grèves fragilisent la cohésion sociale et constituent une menacent pour a paix ».
Dans le même élan son collègue en charge de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Paul Koffi Koffi pour qui « lorsque l’école est en grève, la paix est menacée » a dénoncé les grèves « avec leur lots de vandalismes et de violences ».
Les enseignants du primaire qui étaient en grève depuis plusieurs jours ont suspendu ce mouvement et repris les cours lundi dernier.
Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara a regretté, vendredi dernier, en recevant le rapport 2015 de la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), la grève des fonctionnaires qu’il a jugé ‘’inadmissible’’, menaçant que ‘’la loi sera appliquée’’.
SY/ls/APA
Cet appel a été lancé par plusieurs membres du gouvernement dont le premier ministre, Daniel Kablan Ducan, lors de la 20ème édition de la Journée nationale de la paix autour de la thématique « une école citoyenne au service de la paix » dans la ville de Bongouanou (Centre-Est) du pays.
« J’appelle les enseignants à tous les niveaux à reconnaître les efforts importants du gouvernement et à mettre fin aux grèves qui perturbent l’école rappelant que leur responsabilité citoyenne est grande », a lancé,d’un ton ferme, le chef du gouvernement ivoirien à ses acteurs de
l’éducation nationale qui ont observés ces dernières semaines des mouvements de grèves.
Le premier ministre ivoirien a regretté que l’école soit la porte d’entrée de la violence en Côte d’Ivoire.
« La violence, dans l’histoire récente de notre pays est rentrée par l’école», a fait remarquer M.Duncan.
Pour lui, il est « impératif d’éviter les actes de violences ». A son tour, la ministre de la solidarité, de la cohésion sociale et de l’indemnisation des victimes, Pr Mariatou Koné a soutenu que « les nombreuses grèves fragilisent la cohésion sociale et constituent une menacent pour a paix ».
Dans le même élan son collègue en charge de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Paul Koffi Koffi pour qui « lorsque l’école est en grève, la paix est menacée » a dénoncé les grèves « avec leur lots de vandalismes et de violences ».
Les enseignants du primaire qui étaient en grève depuis plusieurs jours ont suspendu ce mouvement et repris les cours lundi dernier.
Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara a regretté, vendredi dernier, en recevant le rapport 2015 de la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), la grève des fonctionnaires qu’il a jugé ‘’inadmissible’’, menaçant que ‘’la loi sera appliquée’’.
SY/ls/APA