«Le FPI se porte bien dans les localités de Bouaké, Katiola, Niakara, Botro, Béoumi et Bodokro. Nous sommes donc prêts à la compétition pour ces élections législatives de 2016. Le terrain est prenable pour nous, puisque les adversaires (ndrl : le RHDP) sont très divisés en moment », a déclaré Eugène Djué dit le Maréchal, vice-président du Front Populaire Ivoirien (FPI). C’était le dimanche 13 novembre 2016 au foyer Jeune Viateur à Bouaké lors d’un point de presse au cours duquel, il a annoncé sa candidature au poste de député de Diabo-Languibonou.
A cette occasion, Eugène Djué a fait le bilan de son séjour de trois jours (10 au 13 novembre) dans les régions de Gbêkê et du Hambol, tout en affirmant que le FPI, fidèle à ses engagements et au respect des principes démocratiques, présentera un candidat au poste de député dans chaque localité du pays. A en croire l’ex-membre de la galaxie patriotique, il n’est pas question pour le parti de Laurent Gbagbo de se dérouter de son objectif de paix et de démocratie, en dépit des défis que connaît le FPI actuellement. « Croyez-moi, les mentalités ont changé. Les choses ont évolué. Il y a de l’espace pour tout le monde. Nous avons fait l’état d’esprit des populations par rapport aux élections à venir. Nous sommes convaincus que le FPI en sortira vainqueur. Car, il y a une situation favorable due à la division au sein du RHDP », a souligné Eugène Djué.
Pour lui, cette situation doit être une occasion de saisir et un motif supplémentaire de motivation et de réarmement moral des militants du FPI. C’est pourquoi, il a condamné l’appel au boycott des élections législatives lancé par la tendance Abou Drahamane Sangaré. Un appel qui, a-t-il dit, sera une grave erreur. « Il est plus que nécessaire d’être dans le jeu politique. Nous ne trouvons pas juste la position de Abou Drahamane Sangaré. Cela est contreproductif pour le FPI. C’est pourquoi, nous n’en ferons pas autant. Nous n’avons pas adhéré à des compromissions mais à des compromis de nature à sauver l’essentiel. Une Côte d’Ivoire unie et réconciliée avec elle-même. Malheureusement, nous allons perdre des voix avec cette décision», a-t-il déploré.
Évoquant l’actualité politique du moment, Eugène Djué a dit qu’avec le vote de la nouvelle Constitution, l’absence du FPI à l’Assemblée nationale a eu un impact sur « la manière lapidaire avec laquelle les députés ont adopté ce projet de loi. C’est en y allant qu’on à toutes les chances de faire changer les choses », a-t-il estimé. Pour finir, il a exhorté les militants FPI de Bouaké, Katiola, Niakara, Béoumi, Diabo et Bodokro à investir le terrain pour la victoire des candidats du parti au soir du 18 décembre prochain lors des élections législatives.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké
A cette occasion, Eugène Djué a fait le bilan de son séjour de trois jours (10 au 13 novembre) dans les régions de Gbêkê et du Hambol, tout en affirmant que le FPI, fidèle à ses engagements et au respect des principes démocratiques, présentera un candidat au poste de député dans chaque localité du pays. A en croire l’ex-membre de la galaxie patriotique, il n’est pas question pour le parti de Laurent Gbagbo de se dérouter de son objectif de paix et de démocratie, en dépit des défis que connaît le FPI actuellement. « Croyez-moi, les mentalités ont changé. Les choses ont évolué. Il y a de l’espace pour tout le monde. Nous avons fait l’état d’esprit des populations par rapport aux élections à venir. Nous sommes convaincus que le FPI en sortira vainqueur. Car, il y a une situation favorable due à la division au sein du RHDP », a souligné Eugène Djué.
Pour lui, cette situation doit être une occasion de saisir et un motif supplémentaire de motivation et de réarmement moral des militants du FPI. C’est pourquoi, il a condamné l’appel au boycott des élections législatives lancé par la tendance Abou Drahamane Sangaré. Un appel qui, a-t-il dit, sera une grave erreur. « Il est plus que nécessaire d’être dans le jeu politique. Nous ne trouvons pas juste la position de Abou Drahamane Sangaré. Cela est contreproductif pour le FPI. C’est pourquoi, nous n’en ferons pas autant. Nous n’avons pas adhéré à des compromissions mais à des compromis de nature à sauver l’essentiel. Une Côte d’Ivoire unie et réconciliée avec elle-même. Malheureusement, nous allons perdre des voix avec cette décision», a-t-il déploré.
Évoquant l’actualité politique du moment, Eugène Djué a dit qu’avec le vote de la nouvelle Constitution, l’absence du FPI à l’Assemblée nationale a eu un impact sur « la manière lapidaire avec laquelle les députés ont adopté ce projet de loi. C’est en y allant qu’on à toutes les chances de faire changer les choses », a-t-il estimé. Pour finir, il a exhorté les militants FPI de Bouaké, Katiola, Niakara, Béoumi, Diabo et Bodokro à investir le terrain pour la victoire des candidats du parti au soir du 18 décembre prochain lors des élections législatives.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké