L’adjoint du directeur de cabinet du ministre ivoirien de l’Intérieur, Tohbi Irié Vincent a affirmé mercredi à Yamoussoukro (capitale politique) que les préfets des 31 régions de la Côte d’Ivoire vont être "les chefs des opérations en cas d’attaque terroriste" dans leur localité, lors d’un séminaire.
"Les préfets et les forces de défense et de sécurité ont un rôle particulier à jouer dans le plan mis en œuvre (par le gouvernement) contre le terrorisme", a déclaré M. Tohbi.
"Il s’agit du plan tactique qui, en marge de la stratégie nationale, consiste à la gestion du déroulement des opérations, quand un terroriste apparait avec une arme et qu’il est identifié comme tel", a-t-il précisé.
Pour l’adjoint du directeur de cabinet, "c’est là que se situe la responsabilité des préfets de région, (…) avec des attributions et un protocole très clair".
"Ils seront appuyés par les préfets de police, des Forces de défense et de sécurité, (…) des agents des eaux et forêts et des secours, (afin de) faire face au plus tôt à la situation (…) avec chacun une répartition des rôles", a indiqué Tohbi Irié Vincent.
Dimanche 13 mars 2016, la Côte a connu la première attaque terroriste de son histoire sur la plage de Grand-Bassam (53 km au sud d’Abidjan). Depuis cette date, le gouvernement ivoirien avec l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), multiplie des formations avec les administrateurs des régions "à titre préventif".
ATI
"Les préfets et les forces de défense et de sécurité ont un rôle particulier à jouer dans le plan mis en œuvre (par le gouvernement) contre le terrorisme", a déclaré M. Tohbi.
"Il s’agit du plan tactique qui, en marge de la stratégie nationale, consiste à la gestion du déroulement des opérations, quand un terroriste apparait avec une arme et qu’il est identifié comme tel", a-t-il précisé.
Pour l’adjoint du directeur de cabinet, "c’est là que se situe la responsabilité des préfets de région, (…) avec des attributions et un protocole très clair".
"Ils seront appuyés par les préfets de police, des Forces de défense et de sécurité, (…) des agents des eaux et forêts et des secours, (afin de) faire face au plus tôt à la situation (…) avec chacun une répartition des rôles", a indiqué Tohbi Irié Vincent.
Dimanche 13 mars 2016, la Côte a connu la première attaque terroriste de son histoire sur la plage de Grand-Bassam (53 km au sud d’Abidjan). Depuis cette date, le gouvernement ivoirien avec l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), multiplie des formations avec les administrateurs des régions "à titre préventif".
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