Yamoussoukro - Le directeur de cabinet adjoint du ministère d’État, ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, Vincent Tohbi Irié a confié mercredi à Yamoussoukro que les voies d’immigration l’internet et les réseaux sociaux compliquent l’approche du terrorisme.
M Tohbi Irié s’exprimait à l’occasion d’un atelier du Conseil national de sécurité (CNS) et du PNUD sur la prévention de l’extrémisme violent. Il a fait savoir que les immigrants en provenance des pays africains pour l’Europe rencontrent au niveau du Sahel des groupes terrorismes qui leur font payer des dîmes ou des droits pour pouvoir traverser.
« Mais malheureusement certains de nos frères sont appâtés par les terrorismes à ce niveau et ils sont convaincus par le discours de haine de l’occident, le discours d’exclusionisme », a déploré le directeur de cabinet chargé de l’administration territoriale.
Il a ajouté que l’autre source des problèmes pour les nations africaines, c’est qu’avec l’ère de l’internet et des réseaux sociaux, « un enfant n’a pas besoin d’aller à l’église de voir un pasteur violent de voir un imam extrémiste pour être radicalisé. Seul dans sa chambre, il a accès au monde entier. Il peut recevoir sur son portable des images et tous les messages violents qui peuvent le transformer ».
« Nous devons arrêter notre combat et notre approche terroriste avec les réalités et difficultés d’un tel phénomène qui a des implications sociales, psychologiques, financières et administratives au niveau national et mondial », a recommandé le directeur de cabinet adjoint du ministre d'Etat Hamed Bakayoko.
nam/cmas
M Tohbi Irié s’exprimait à l’occasion d’un atelier du Conseil national de sécurité (CNS) et du PNUD sur la prévention de l’extrémisme violent. Il a fait savoir que les immigrants en provenance des pays africains pour l’Europe rencontrent au niveau du Sahel des groupes terrorismes qui leur font payer des dîmes ou des droits pour pouvoir traverser.
« Mais malheureusement certains de nos frères sont appâtés par les terrorismes à ce niveau et ils sont convaincus par le discours de haine de l’occident, le discours d’exclusionisme », a déploré le directeur de cabinet chargé de l’administration territoriale.
Il a ajouté que l’autre source des problèmes pour les nations africaines, c’est qu’avec l’ère de l’internet et des réseaux sociaux, « un enfant n’a pas besoin d’aller à l’église de voir un pasteur violent de voir un imam extrémiste pour être radicalisé. Seul dans sa chambre, il a accès au monde entier. Il peut recevoir sur son portable des images et tous les messages violents qui peuvent le transformer ».
« Nous devons arrêter notre combat et notre approche terroriste avec les réalités et difficultés d’un tel phénomène qui a des implications sociales, psychologiques, financières et administratives au niveau national et mondial », a recommandé le directeur de cabinet adjoint du ministre d'Etat Hamed Bakayoko.
nam/cmas