Dans la zone de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) environ 50% de la population adulte n’ont pas accès aux services financiers, ce qui représente l’un des taux les plu élevés au monde, a affirmé jeudi à Dakar M. Tiémoko Meyliet Koné Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Il présidait l’ouverture officielle de la table ronde des bailleurs de fonds pour le financement de la stratégie régionale d’inclusion financière de la BCEAO organisée par l’institut d’émission et l’United Nations Capital Development Fund (UNCDF).
«Les stratégies d’inclusion financière constituent de nos instrument d’accélération de la croissance et de développement économique, qui favorise l’insertion des couches les plus vulnérables dans le tissu économique et social ds pays les moins avancés »,a ajouté le gouverneur.
Selon lui, cette problématique a été bien perçue par les banques centrales qui, au-delà de leur mission originelle, ont commencé à mettre davantage l’accent sur la promotion de l’inclusion financière afin de mieux accompagner les stratégies de développement et d’émergence économiques adoptées par les Etats. « En tant que banque centrale de pays pauvres, la BCEAO a très tôt compris l’enjeu de l’inclusion financière et n’a pas été en reste sur ce terrain », soutient M. Koné.
Il avance que les premiers textes conçus par l’institut d’émission dans ce domaine datent des années 1990 avec l’adoption d’un cadre juridique portant réglementation des systèmes financiers décentralisés. L’objectif était de créer un environnement propice à l’offre de services financiers aux populations exclues du système bancaire.
MS/APA
Il présidait l’ouverture officielle de la table ronde des bailleurs de fonds pour le financement de la stratégie régionale d’inclusion financière de la BCEAO organisée par l’institut d’émission et l’United Nations Capital Development Fund (UNCDF).
«Les stratégies d’inclusion financière constituent de nos instrument d’accélération de la croissance et de développement économique, qui favorise l’insertion des couches les plus vulnérables dans le tissu économique et social ds pays les moins avancés »,a ajouté le gouverneur.
Selon lui, cette problématique a été bien perçue par les banques centrales qui, au-delà de leur mission originelle, ont commencé à mettre davantage l’accent sur la promotion de l’inclusion financière afin de mieux accompagner les stratégies de développement et d’émergence économiques adoptées par les Etats. « En tant que banque centrale de pays pauvres, la BCEAO a très tôt compris l’enjeu de l’inclusion financière et n’a pas été en reste sur ce terrain », soutient M. Koné.
Il avance que les premiers textes conçus par l’institut d’émission dans ce domaine datent des années 1990 avec l’adoption d’un cadre juridique portant réglementation des systèmes financiers décentralisés. L’objectif était de créer un environnement propice à l’offre de services financiers aux populations exclues du système bancaire.
MS/APA