L’ONG Save the Children lutte pour l’insertion de 2600 jeunes migrants par la formation professionnelle ou la formation auprès des maîtres artisans, dans le cadre du Projet d’appui aux enfants et jeunes travailleurs migrants ((PRAEJEM) en mobilité, ont annoncé les dirigeants de cette structure, vendredi à Bouaké, lors d’un atelier.
Ces enfants et jeunes migrants nationaux ou étrangers qui résident loin de leur famille biologique vivent dans des conditions difficiles et s’adonnent à des travaux souvent dégradants dans des champs, des mines et d'autres secteur d’activités.
Le conseiller technique en sécurité alimentaire et moyen de subsistance de Save The Children, Soro Guefala, a indiqué que l’objectif du projet n’est pas de mettre fin à la migration mais de contribuer à sa réduction en faisant la sensibilisation des jeunes migrants par rapport aux dangers qu'ils encourent et en leur apportant un appui en formation qualifiante ou professionnelle pour leur insertion dans le tissu socio-économique.
Une étude commanditée à cet effet a permis d’identifier les institutions de formation, les entreprises partenaires et des maîtres artisans pour l’encadrement et l’insertion des enfants identifiés et ayant fait l'objet d'écoute primaire et secondaire auprès des travailleurs sociaux et pour qui des projets de vie ont été clairement définis.
Financé à hauteur 80% par l’Union Européenne et mis en œuvre par Save The Children, le PRAEJEM est doté d’un budget global de 4,78 millions d’Euro (environ trois milliards FCFA) et vise à améliorer les conditions de subsistance des personnes concernées. Il est mis en œuvre en Côte d’Ivoire, au Mali et au Burkina Faso et profite à différentes catégories d’enfants et jeunes en mobilité dont ceux qui travaillent dans le domaine de l’agriculture et des mines, les concasseurs manuels des carrières granitiques et les enfants "talibés". Plus 4000 enfants sont visé dans les trois pays.
nbf/cmas
Ces enfants et jeunes migrants nationaux ou étrangers qui résident loin de leur famille biologique vivent dans des conditions difficiles et s’adonnent à des travaux souvent dégradants dans des champs, des mines et d'autres secteur d’activités.
Le conseiller technique en sécurité alimentaire et moyen de subsistance de Save The Children, Soro Guefala, a indiqué que l’objectif du projet n’est pas de mettre fin à la migration mais de contribuer à sa réduction en faisant la sensibilisation des jeunes migrants par rapport aux dangers qu'ils encourent et en leur apportant un appui en formation qualifiante ou professionnelle pour leur insertion dans le tissu socio-économique.
Une étude commanditée à cet effet a permis d’identifier les institutions de formation, les entreprises partenaires et des maîtres artisans pour l’encadrement et l’insertion des enfants identifiés et ayant fait l'objet d'écoute primaire et secondaire auprès des travailleurs sociaux et pour qui des projets de vie ont été clairement définis.
Financé à hauteur 80% par l’Union Européenne et mis en œuvre par Save The Children, le PRAEJEM est doté d’un budget global de 4,78 millions d’Euro (environ trois milliards FCFA) et vise à améliorer les conditions de subsistance des personnes concernées. Il est mis en œuvre en Côte d’Ivoire, au Mali et au Burkina Faso et profite à différentes catégories d’enfants et jeunes en mobilité dont ceux qui travaillent dans le domaine de l’agriculture et des mines, les concasseurs manuels des carrières granitiques et les enfants "talibés". Plus 4000 enfants sont visé dans les trois pays.
nbf/cmas