Ce qui s’est tramé dans le dos de Bacongo
Après l’adoption de la nouvelle Constitution ivoirienne par voie référendaire , Cissé Ibrahim Bacongo , Conseiller Spécial du Président de la République en charge des affaires juridiques et institutionnelles , membre du comité des experts , a profité d’un séjour d’une dizaine de jours à Paris , pour mener une communication à l’international sur l’actualité ivoirienne du moment à savoir : le référendum, l’adoption de la nouvelle Constitution, les législatives à venir.
Le Vendredi 11 novembre, le conseiller spécial du Président Ouattara a fait 3 plateaux télé à la chaîne panafricaine d’informations en continu , Africa24
D’abord LE POLITITIA , une émission de débat avec des invités. Le thème central était la " Côte d’Ivoire : La nouvelle constitution promulguée". Il a été traité selon les parties ci dessous : Première Partie
Côte d’Ivoire: Division autour de la nouvelle Constitution ; Deuxième Partie Côte d’Ivoire: Quels changements institutionnels sous la IIIème République ; Troisième Partie
Côte d’Ivoire: La nouvelle Constitution et le processus de
réconciliation
Le recours en annulation du référendum, déposé par le Front de l’opposition à la cour de Justice de la CEDEAO , a été évoqué par le modérateur.
Les échanges ont permis d’aborder les innovations institutionnelles liées à la création du Sénat et à la vice Présidence. Le Président Ouattara ayant estimé que la nouvelle Constitution visait à corriger celle de 2002 jugée conflitgène , le ministre a tenté de démontrer en quoi les nouvelles dispositions peuvent contribuer
à la réconciliation entre les Ivoiriens , sans cependant accroître considérablement les charges de l’État.
Au cours des échanges , Cissé Bacongo a successivement fait face à une paire d’invités :
1- Balou Bi Toto Jerôme, ex SG de l’Université Felix Houphouet Boigny DE Cocody, et Michel BAROAN : Président de l’Union des Réfugiés Ivoiriens en France ( URIF) , ex DG du Burida.
2. Steve LAGO: Expert en Communication politiqueet Dr Major S. DOUMBIA : Expert en Communication Politique
3- Tirbuce KOFFI: Journaliste – Écrivain et BalouBi Toto Jerôme, ex SG UFHB
Après POLITITIA , le plateau
de LE TALK , émission de débat à bâtons rompus face au journaliste Babylas Boton , a reçu Cissé Bacongo dont la journée marathon au sein de la première chaîne panafricaine d’information a pris fin , lors du troisième plateau du jours , le JT de 19 h.
Durant son séjour parisien , le conseiller spécial du chef de l’État a été également l’invité de Vincent Duhem de Jeune Afrique. L’entretien a tourné autour des résultats du référendum, de l’esprit de la nouvelle Constitution, des législatives 2016 et l’agenda 2017. L’interview est à paraître, et sans doute laissera des traces.
Cap a été ensuite mis sur la radio Africa N1 , à l’émission "Le Grand Débat" présentée par Nadir Djennad le Mercredi 16 novembre à 19 h. "Côte d’ivoire : Nouvelle Constitution et élections législatives", a été le thème général des échanges entre Alafé Wakili, journaliste et écrivain, directeur de « L’Intelligent d’Abidjan ». Auteur de « Notre histoire avec Laurent Gbagbo – Retour sur quinze ans de crise ivoirienne » paru aux éditions L’Harmattan , présent dans le studio à Paris , et Kouakou Kra, secrétaire général adjoint du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), chargé des élections, ancien député , qui intervenait depuis Abidjan par téléphone , et enfin l’ex ministre Bacongo." Promulgation de la IIIème République – Quels changements ? Quid de la vice-présidence et du Sénat ? Les nouveaux postes à briguer ?
- Organisation des élections législatives et dépôt des candidatures– Une majorité rassemblée au sein du RHDP ? Une opposition divisée ? A quoi ressemblera la prochaine Assemblée ? ", sont les thématiques qui ont été abordées. En marge des débats contradictoires sur les médias et des interviews accordées aux médias , le membre du comité des experts a poursuivi l’explication de la nouvelle Constitution, à travers des rencontres informelles , et des têtes à têtes avec de nombreux ivoiriens résidant en France. La question de la réconciliation et de la fraternité entre les populations, a été abordées au cours des entretiens avec des exilés , qui ont accepté d’échanger avec Cissé Bacongo pour avoir une idée exacte de la situation socio-politique dans le pays , et pour approfondir les échanges sur la nouvelle Constitution. Le conseiller spécial du Président Alassane Ouattara a écouté avec attention et intérêt les observations formulées par ses interlocuteurs, qu’il a exhortés à rentrer dans leur pays , les assurant qu’ils ne seront nullement inquiétés.
Des choses se tramaient à Koumassi.....
Pendant que celui qui est également député à Koumassi était en mode explication et sensibilisation de la Constitution à Paris , des choses bizarres semblaient se tramer à dans sa circonscription électorale de Koumassi. Tout le monde se souvient que pour le compte du Rdr , Cissé Bacongo et Traoré Adjaratou avaient été reconduits pour les élections législatives à Koumassi. Un signe de la cohésion maintenue après la séance de réconciliation à l’initiative de Sidiki Konaté il y’a quelques semaines.
Des rumeurs selon Sangaré Yacouba
Des informations avaient alors fait état de ce que pour la prochaine législature , le suppléant de Cissé Bacongo aurait été écarté au profit du départemental du Rdr Koné Sidi Mohamed.
Contacté, le concerné Sangaré Yacouba a dit tomber des nus : « Ah bon ! Je ne suis vraiment pas au courant. M. Cissé Bacongo ne m’a pas signifié cela. Donc, c’est vous qui me l’apprenez".
À la question de savoir si ses dossiers ont été effectivement déposés à la Commission électorale indépendante , il a indiqué : « Cette information me surprend parce que si le ministre Cissé Bacongo m’avait écarté, il ne m’aurait pas fait signer des dossiers avec lui-même pour déposer. En tout cas moi je n’ai pas cette information là. C’est vous qui me l’apprenez franchement. En tout état de cause, comme la liste des candidats titulaires a été publiée, la liste des suppléants aussi sera publiée. Nous attendons ça. Sinon le ministre Cissé Bacongo ne m’a pas dit qu’il n’a plus besoin de mes services" . Dont acte !
Cette rumeur qui était intervenue au moment où le député de Koumassi et conseiller spécial du Président de la République chargé des Affaires juridiques Cissé Bacongo , se trouvait en France , était -elle une tentative d’intoxication et de démobilisation de la base ; visait-elle à saper la cohésion retrouvée entre les élus et cadres Rdr , Rhdp et les militants , pour faire le lit des adversaires visibles comme invisibles ?
" Rien ne s’est passé. C’était une fausse alerte. Tout va bien à Koumassi. La situation est sous contrôle. Le ministre Bacongo et les autres cadres et responsables locaux , ainsi que les militants sont en phase et en ordre de bataille ", a insisté une source autorisée pour couper court aux investigations de l’IA.
Dont acte , à nouveau pour une affaire dont s’en doute , plus personne ne parlera !
Charles K et T.A.B
Après l’adoption de la nouvelle Constitution ivoirienne par voie référendaire , Cissé Ibrahim Bacongo , Conseiller Spécial du Président de la République en charge des affaires juridiques et institutionnelles , membre du comité des experts , a profité d’un séjour d’une dizaine de jours à Paris , pour mener une communication à l’international sur l’actualité ivoirienne du moment à savoir : le référendum, l’adoption de la nouvelle Constitution, les législatives à venir.
Le Vendredi 11 novembre, le conseiller spécial du Président Ouattara a fait 3 plateaux télé à la chaîne panafricaine d’informations en continu , Africa24
D’abord LE POLITITIA , une émission de débat avec des invités. Le thème central était la " Côte d’Ivoire : La nouvelle constitution promulguée". Il a été traité selon les parties ci dessous : Première Partie
Côte d’Ivoire: Division autour de la nouvelle Constitution ; Deuxième Partie Côte d’Ivoire: Quels changements institutionnels sous la IIIème République ; Troisième Partie
Côte d’Ivoire: La nouvelle Constitution et le processus de
réconciliation
Le recours en annulation du référendum, déposé par le Front de l’opposition à la cour de Justice de la CEDEAO , a été évoqué par le modérateur.
Les échanges ont permis d’aborder les innovations institutionnelles liées à la création du Sénat et à la vice Présidence. Le Président Ouattara ayant estimé que la nouvelle Constitution visait à corriger celle de 2002 jugée conflitgène , le ministre a tenté de démontrer en quoi les nouvelles dispositions peuvent contribuer
à la réconciliation entre les Ivoiriens , sans cependant accroître considérablement les charges de l’État.
Au cours des échanges , Cissé Bacongo a successivement fait face à une paire d’invités :
1- Balou Bi Toto Jerôme, ex SG de l’Université Felix Houphouet Boigny DE Cocody, et Michel BAROAN : Président de l’Union des Réfugiés Ivoiriens en France ( URIF) , ex DG du Burida.
2. Steve LAGO: Expert en Communication politiqueet Dr Major S. DOUMBIA : Expert en Communication Politique
3- Tirbuce KOFFI: Journaliste – Écrivain et BalouBi Toto Jerôme, ex SG UFHB
Après POLITITIA , le plateau
de LE TALK , émission de débat à bâtons rompus face au journaliste Babylas Boton , a reçu Cissé Bacongo dont la journée marathon au sein de la première chaîne panafricaine d’information a pris fin , lors du troisième plateau du jours , le JT de 19 h.
Durant son séjour parisien , le conseiller spécial du chef de l’État a été également l’invité de Vincent Duhem de Jeune Afrique. L’entretien a tourné autour des résultats du référendum, de l’esprit de la nouvelle Constitution, des législatives 2016 et l’agenda 2017. L’interview est à paraître, et sans doute laissera des traces.
Cap a été ensuite mis sur la radio Africa N1 , à l’émission "Le Grand Débat" présentée par Nadir Djennad le Mercredi 16 novembre à 19 h. "Côte d’ivoire : Nouvelle Constitution et élections législatives", a été le thème général des échanges entre Alafé Wakili, journaliste et écrivain, directeur de « L’Intelligent d’Abidjan ». Auteur de « Notre histoire avec Laurent Gbagbo – Retour sur quinze ans de crise ivoirienne » paru aux éditions L’Harmattan , présent dans le studio à Paris , et Kouakou Kra, secrétaire général adjoint du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), chargé des élections, ancien député , qui intervenait depuis Abidjan par téléphone , et enfin l’ex ministre Bacongo." Promulgation de la IIIème République – Quels changements ? Quid de la vice-présidence et du Sénat ? Les nouveaux postes à briguer ?
- Organisation des élections législatives et dépôt des candidatures– Une majorité rassemblée au sein du RHDP ? Une opposition divisée ? A quoi ressemblera la prochaine Assemblée ? ", sont les thématiques qui ont été abordées. En marge des débats contradictoires sur les médias et des interviews accordées aux médias , le membre du comité des experts a poursuivi l’explication de la nouvelle Constitution, à travers des rencontres informelles , et des têtes à têtes avec de nombreux ivoiriens résidant en France. La question de la réconciliation et de la fraternité entre les populations, a été abordées au cours des entretiens avec des exilés , qui ont accepté d’échanger avec Cissé Bacongo pour avoir une idée exacte de la situation socio-politique dans le pays , et pour approfondir les échanges sur la nouvelle Constitution. Le conseiller spécial du Président Alassane Ouattara a écouté avec attention et intérêt les observations formulées par ses interlocuteurs, qu’il a exhortés à rentrer dans leur pays , les assurant qu’ils ne seront nullement inquiétés.
Des choses se tramaient à Koumassi.....
Pendant que celui qui est également député à Koumassi était en mode explication et sensibilisation de la Constitution à Paris , des choses bizarres semblaient se tramer à dans sa circonscription électorale de Koumassi. Tout le monde se souvient que pour le compte du Rdr , Cissé Bacongo et Traoré Adjaratou avaient été reconduits pour les élections législatives à Koumassi. Un signe de la cohésion maintenue après la séance de réconciliation à l’initiative de Sidiki Konaté il y’a quelques semaines.
Des rumeurs selon Sangaré Yacouba
Des informations avaient alors fait état de ce que pour la prochaine législature , le suppléant de Cissé Bacongo aurait été écarté au profit du départemental du Rdr Koné Sidi Mohamed.
Contacté, le concerné Sangaré Yacouba a dit tomber des nus : « Ah bon ! Je ne suis vraiment pas au courant. M. Cissé Bacongo ne m’a pas signifié cela. Donc, c’est vous qui me l’apprenez".
À la question de savoir si ses dossiers ont été effectivement déposés à la Commission électorale indépendante , il a indiqué : « Cette information me surprend parce que si le ministre Cissé Bacongo m’avait écarté, il ne m’aurait pas fait signer des dossiers avec lui-même pour déposer. En tout cas moi je n’ai pas cette information là. C’est vous qui me l’apprenez franchement. En tout état de cause, comme la liste des candidats titulaires a été publiée, la liste des suppléants aussi sera publiée. Nous attendons ça. Sinon le ministre Cissé Bacongo ne m’a pas dit qu’il n’a plus besoin de mes services" . Dont acte !
Cette rumeur qui était intervenue au moment où le député de Koumassi et conseiller spécial du Président de la République chargé des Affaires juridiques Cissé Bacongo , se trouvait en France , était -elle une tentative d’intoxication et de démobilisation de la base ; visait-elle à saper la cohésion retrouvée entre les élus et cadres Rdr , Rhdp et les militants , pour faire le lit des adversaires visibles comme invisibles ?
" Rien ne s’est passé. C’était une fausse alerte. Tout va bien à Koumassi. La situation est sous contrôle. Le ministre Bacongo et les autres cadres et responsables locaux , ainsi que les militants sont en phase et en ordre de bataille ", a insisté une source autorisée pour couper court aux investigations de l’IA.
Dont acte , à nouveau pour une affaire dont s’en doute , plus personne ne parlera !
Charles K et T.A.B