Chers adhérents, il y a 11 ans, à l’issue de l’Assemblée Générale de 2006, vous avez approuvé à l’unanimité le choix fait sur ma personne pour présider aux destinées de notre organisation, la CGECI.
En approuvant ce choix, vous m’avez offert de vivre durant ces 11 années, une aventure exaltante, passionnante et riche en expériences. Je vous dis merci, et vous exprime mon infinie reconnaissance. Merci aussi et surtout pour votre loyauté et votre fidélité. Car durant ces 11 années, vous m’avez manifesté un indéfectible attachement, et votre soutien ne m’a jamais fait défaut, même pendant les moments difficiles que notre pays a traversé.
Toutefois, durant ces 11 années, je n’ai pas tout bien fait, tout n’a pas réussi comme je le souhaitais. Je le sais!
Entre autres, Je regrette de ne pas avoir pu achever le toilettage des textes comme vous me l’aviez demandé à l’issue de notre Assemblée Générale de septembre 2014; alors que je m’y étais engagé. Je pense n’avoir su expliquer à mes pairs, la nécessité et le bien fondé de cette réforme.
Votre demande était légitime, car notre organisation a subi de profondes mutations dont la principale fut l’adhésion directe des entreprises, alors que l’entrée dans cette faitière qu’était, à l’origine le CNPI devenu CGECI, n’était exclusivement réservée qu’aux seuls groupements. En effet, en 2006 seuls 9 groupements composaient notre organisation.
Au cours de ces 11 années 149 entreprises et 9 associations ont pu adhérer directement à la CGECI alors que le nombre des groupements passait de 9 à 10. Ces entreprises qui ont adhéré directement à la CGECI totalisent 351 millions de Francs CFA de frais de cotisation avec un taux de recouvrement de 91% contre 100 millions pour les groupements avec un taux de recouvrement de 67%. Sur l’ensemble des cotisations de nos adhérents s’élevant à 490 millions de Francs CFA, les entreprises ayant adhéré directement à la CGECI y contribuent donc pour 72%, contre 20% pour les groupements et 8% pour les associations.
Dès lors, la configuration de notre Conseil d’administration, devrait s’adapter à la nouvelle cartographie de notre organisation, pour être véritablement représentative. Ceci n’est pas une option: c’est un
impératif.
Vous, chers adhérents, devriez avoir tout au moins, le choix de désigner vos administrateurs à savoir, ceux qui, selon vous, représenteraient au mieux vos intérêts. Or nos textes pêchent sur ce point. Car, il y a une lacune de taille, un oubli sans doute. En effet, il n’existe pas de mode clair de désignation de nos Administrateurs.
Cela s’est fait jusqu’ici par simple cooptation. Ce n’est pas très démocratique, avouons-le ....
Pour cette raison principale, J’aurais donc dû me donner tous les moyens pour réussir cette mission du toilettage des textes que vous m’aviez confiée. Il n’y avait donc pas d’autres desseins inavoués ... Je me dois d’assumer cet échec.
La liberté de pensée qui est un droit inhérent à une organisation comme la nôtre se consolide par son autonomie à la fois matérielle et financière. La construction de notre siège, la maison de l’entreprise, répond à cette exigence. Etre chez soi, c’est déjà affirmer son autonomie. Mais nous ne sommes qu’au début de ce processus.
Car, malheureusement, nos revenus propres c’est-à-dire nos cotisations, ne contribuent que partiellement au financement des activités de notre organisation et de nos investissements. Ils sont financés en grande partie par notre part de la TSE, que nous avons réussi à obtenir de l’Etat.
Les actions visant à générer de nouvelles sources de revenus auraient du être amplifiées. Je ne doute pas qu’elles le seront...
Les actions, pour augmenter le nombre de nos adhérents, pour une meilleure représentativité du secteur privé de notre pays et conforter pour le niveau de nos cotisations, auraient du être plus vigoureuses. Durant ces 11 années, il n’y a eu que 149 entreprises et 9 associations qui ont adhérées à notre organisation. C’est peu et même très peu.
Le toilettage de nos statuts pourrait être l’occasion de permettre à un plus grand nombre d’entreprises, surtout les plus petites et les plus nombreuses, d’adhérer à la CGECI, en adaptant le niveau des cotisations.
Chers adhérents, le tableau n’est pas totalement noir. Bien au contraire,
le Conseil d’Administration que j’ai eu l’honneur de présider a accompli de
grandes choses. Notre organisation a su mettre au coeur de la politique
de développement national, le secteur privé ivoirien.
Ce Conseil d’Administration, par des initiatives telles que le CGECI Academy, le Business Plan Competion, a fini par convaincre toutes les composantes de la société ivoirienne que l’entreprenariat qui est l’acte de créer et de développer une entreprise, est la clef pour une croissance économique inclusive et harmonieuse de notre pays. Cette conviction est aussi partagée par les partenaires au développement telle que la BAD qui n’a pas hésité à financer l’accélérateur d’entreprise que nous avons mis en place. Tout en remerciant nos partenaires au développement pour leur disponibilité et l’intérêt qui n’ont eu cesse de nous manifester, je voudrais leur dire que la tâche est immense et leur appui de toutes formes que ce soit aidera à faire avancer la cause de l’entreprenariat en Côte d’Ivoire.
Notre Conseil d’Administration peut être fier d’avoir aussi mis en place le premier indice qui mesure la performance du secteur privé ivoirien. C’est à la fois un baromètre fondamental de l’économie ivoirienne mais aussi un puissant outil d’aide à la décision. Il reste donc à le vulgariser pour une exploitation optimale de son potentiel.
Notre pays a traversé des moments difficiles au cours desquels, nos entreprises n’avaient pas de visibilité sur la politique de développement de notre économie et n’avaient plus de boussole pour les guider dans leurs choix stratégiques. Le Conseil d’Administration a pris alors ses responsabilités en élaborant son plan stratégique de développement de la Côte d’Ivoire dénommée {( Côte d’Ivoire 2040». Ce fut une première en Afrique noire, car l’usage voudrait que ce genre de document émane d’une réflexion gouvernementale.
Bien que nous ayons aujourd’hui un programme National de Développement, Côte d’Ivoire 2040 est d’actualité et mérite une actualisation permanente. Oui, nous le secteur privé ivoirien ne devons pas nous exonérer du devoir de penser par nous et exprimer notre vision du développement économique de notre pays. Il y va même de la crédibilité de notre organisation. Au-delà de ça, nos autorités doivent connaitre au travers de ce genre d’étude prospective, les profondes aspirations de leur secteur privé.
La stratégie du Conseil d’Administration de se rapprocher des organisations régionales et internationales (UEMOA, CEDEAO, BIT, OIE, Banque Mondiale, BAD ... ) ainsi que des organisations patronales soeurs (CGEM au Maroc, MEDEF en France, Chambre de Commerce Afrique- Asie du Sud Est. .. ) a contribué au rayonnement international de la CGECI. Toutes ces organisations reconnaissent en la CGECI un partenaire fiable pour la prise en compte des aspirations du secteur privé ivoirien.
Nous assurons aujourd’hui la Présidence de la FOPAO. Nous tenons ainsi, un instrument pour soutenir le développement de nos entreprises à l’international.
Un secteur privé fort est celui dont les dirigeants des entreprises qui le composent sont bien formés. C’est pourquoi, l’initiative du Conseil d’Administration de nouer des partenariats forts avec les meilleures écoles au monde est à saluer. Je veux citer en exemple les conventions signées ou en cours de signature avec HEC, ESSEC, Science Po, etc ...
Les initiatives prises par notre Conseil d’Administration durant ces 11 années, et qui ont permis le rayonnement de notre organisation tant sur le plan national qu’international sont nombreuses et ne cessent de se démultiplier. Je vais donc vous en faire l’économie pour éviter que mon intervention ne soit un discours bilan.
Chers administrateurs, nous devons être fiers de ce que nous avons fait de notre organisation. Je sais que nous n’avons pas déçu ceux qui nous ont précédés à qui je rends un vibrant hommage.
Je pense à:
- Feu Président MEYER;
- Joseph Aka Anghui ;
- Marcel Zadi Kessy
- Feu Diack Diawar ;
De par nos initiatives, nous avons permis de sortir de notre posture de structure syndicale de « revendication» pour devenir une « force de propositions» et mieux, « une force de transformation ».
Cette transformation a été possible parce qu’encourager par nos gouvernants. Oui, nous pouvons nous estimer chanceux car cette relation fusionnelle entre un secteur privé et son administration est suffisamment rare pour être mentionnée. Durant ces dernières années nous avons évolué en duo avec nos gouvernants dans l’intérêt supérieur de la nation ivoirienne. Au nom du Conseil d’Administration et en mon nom personnel, je voudrais rendre un vibrant hommage au Président Alassane Ouattara pour sa détermination à accompagner le développement du secteur privé.
N’a-t-i1 pas pris instinctivement le leadership des initiatives pour l’émergence des champions nationaux?
Il a toujours cru en son secteur privé et cette confiance ne nous a jamais fait défaut. Nous lui disons merci et espérons continuer de mériter sa confiance.
Ces remerciements vont à l’ensemble de son gouvernement avec à sa tête le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan pour qui j’ai à la fois une grande admiration et une forte affection.
Notre Premier Ministre n’a pas fait qu’exécuter les instructions du Président Alassane Ouattara concernant le secteur privé ivoirien.
Il avait foi en ce qu’il faisait. C’est la qualité première des grands hommes. Et c’est pour cela que nous lui devrons une éternelle reconnaissance.
« Remerciements au Ministre de l’Industrie et des Mines, de l’Emploi et de la Protection Sociale, de l’Economie et des Finances, du Budget, des Pme et Artisanat, et de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle et du Ministre de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique»
Nous avons aussi un personnel dévoué que je remercie pour son abnégation et son enthousiasme au travail, ainsi que pour ses compétences qui ont permis à notre organisation de faire le Bon qualitatif que nous avons connu. Merci à vous tous, pour votre dévouement.
Je n’oublie pas les Présidents et membres de nos commissions qui ont accompli et abattu bénévolement un travail formidable. Merci.
Chers administrateurs, la CGECI est aujourd’hui notre fierté.
Jean Marie Acka, toi que les administrateurs ont porté à leur tête, tu auras la lourde tâche de faire en sorte qu’au-delà de nos adhérents, la CGECI soit la fierté de toute la nation ivoirienne. Tu as relevé de nombreux défis dans le cadre de tes entreprises qui font la fierté de notre pays et au-delà même de nos frontières. Tu as relevé de nombreux défis pour porter haut, les groupements patronaux que tu as dirigés jusqu’à maintenant. Je n’ai donc aucun doute, qu’avec ta rigueur qui est de notoriété et ton sens de l’engagement, que tu arriveras à relever ce défi et porter encore plus haut notre organisation.
Je quitte donc la tête de la CGECI rassuré de ce que tu as les qualités et les compétences requises pour relever tous les défis qui se présenteront à notre organisation. Jean Marie, je voudrais t’assurer de toute ma disponibilité et de tout mon soutien. Et je n’ai aucun doute qu’il en est de même de l’ensemble des membres de notre Conseil d’Administration et de tous nos adhérents qui t’accorderont un soutien indéfectible.
C’est ensemble que nous relèverons le défi du meilleur.
Vives les entreprises ivoiriennes, Vive la CGECI forte de la cohésion de ses membres.
Je vous remercie
En approuvant ce choix, vous m’avez offert de vivre durant ces 11 années, une aventure exaltante, passionnante et riche en expériences. Je vous dis merci, et vous exprime mon infinie reconnaissance. Merci aussi et surtout pour votre loyauté et votre fidélité. Car durant ces 11 années, vous m’avez manifesté un indéfectible attachement, et votre soutien ne m’a jamais fait défaut, même pendant les moments difficiles que notre pays a traversé.
Toutefois, durant ces 11 années, je n’ai pas tout bien fait, tout n’a pas réussi comme je le souhaitais. Je le sais!
Entre autres, Je regrette de ne pas avoir pu achever le toilettage des textes comme vous me l’aviez demandé à l’issue de notre Assemblée Générale de septembre 2014; alors que je m’y étais engagé. Je pense n’avoir su expliquer à mes pairs, la nécessité et le bien fondé de cette réforme.
Votre demande était légitime, car notre organisation a subi de profondes mutations dont la principale fut l’adhésion directe des entreprises, alors que l’entrée dans cette faitière qu’était, à l’origine le CNPI devenu CGECI, n’était exclusivement réservée qu’aux seuls groupements. En effet, en 2006 seuls 9 groupements composaient notre organisation.
Au cours de ces 11 années 149 entreprises et 9 associations ont pu adhérer directement à la CGECI alors que le nombre des groupements passait de 9 à 10. Ces entreprises qui ont adhéré directement à la CGECI totalisent 351 millions de Francs CFA de frais de cotisation avec un taux de recouvrement de 91% contre 100 millions pour les groupements avec un taux de recouvrement de 67%. Sur l’ensemble des cotisations de nos adhérents s’élevant à 490 millions de Francs CFA, les entreprises ayant adhéré directement à la CGECI y contribuent donc pour 72%, contre 20% pour les groupements et 8% pour les associations.
Dès lors, la configuration de notre Conseil d’administration, devrait s’adapter à la nouvelle cartographie de notre organisation, pour être véritablement représentative. Ceci n’est pas une option: c’est un
impératif.
Vous, chers adhérents, devriez avoir tout au moins, le choix de désigner vos administrateurs à savoir, ceux qui, selon vous, représenteraient au mieux vos intérêts. Or nos textes pêchent sur ce point. Car, il y a une lacune de taille, un oubli sans doute. En effet, il n’existe pas de mode clair de désignation de nos Administrateurs.
Cela s’est fait jusqu’ici par simple cooptation. Ce n’est pas très démocratique, avouons-le ....
Pour cette raison principale, J’aurais donc dû me donner tous les moyens pour réussir cette mission du toilettage des textes que vous m’aviez confiée. Il n’y avait donc pas d’autres desseins inavoués ... Je me dois d’assumer cet échec.
La liberté de pensée qui est un droit inhérent à une organisation comme la nôtre se consolide par son autonomie à la fois matérielle et financière. La construction de notre siège, la maison de l’entreprise, répond à cette exigence. Etre chez soi, c’est déjà affirmer son autonomie. Mais nous ne sommes qu’au début de ce processus.
Car, malheureusement, nos revenus propres c’est-à-dire nos cotisations, ne contribuent que partiellement au financement des activités de notre organisation et de nos investissements. Ils sont financés en grande partie par notre part de la TSE, que nous avons réussi à obtenir de l’Etat.
Les actions visant à générer de nouvelles sources de revenus auraient du être amplifiées. Je ne doute pas qu’elles le seront...
Les actions, pour augmenter le nombre de nos adhérents, pour une meilleure représentativité du secteur privé de notre pays et conforter pour le niveau de nos cotisations, auraient du être plus vigoureuses. Durant ces 11 années, il n’y a eu que 149 entreprises et 9 associations qui ont adhérées à notre organisation. C’est peu et même très peu.
Le toilettage de nos statuts pourrait être l’occasion de permettre à un plus grand nombre d’entreprises, surtout les plus petites et les plus nombreuses, d’adhérer à la CGECI, en adaptant le niveau des cotisations.
Chers adhérents, le tableau n’est pas totalement noir. Bien au contraire,
le Conseil d’Administration que j’ai eu l’honneur de présider a accompli de
grandes choses. Notre organisation a su mettre au coeur de la politique
de développement national, le secteur privé ivoirien.
Ce Conseil d’Administration, par des initiatives telles que le CGECI Academy, le Business Plan Competion, a fini par convaincre toutes les composantes de la société ivoirienne que l’entreprenariat qui est l’acte de créer et de développer une entreprise, est la clef pour une croissance économique inclusive et harmonieuse de notre pays. Cette conviction est aussi partagée par les partenaires au développement telle que la BAD qui n’a pas hésité à financer l’accélérateur d’entreprise que nous avons mis en place. Tout en remerciant nos partenaires au développement pour leur disponibilité et l’intérêt qui n’ont eu cesse de nous manifester, je voudrais leur dire que la tâche est immense et leur appui de toutes formes que ce soit aidera à faire avancer la cause de l’entreprenariat en Côte d’Ivoire.
Notre Conseil d’Administration peut être fier d’avoir aussi mis en place le premier indice qui mesure la performance du secteur privé ivoirien. C’est à la fois un baromètre fondamental de l’économie ivoirienne mais aussi un puissant outil d’aide à la décision. Il reste donc à le vulgariser pour une exploitation optimale de son potentiel.
Notre pays a traversé des moments difficiles au cours desquels, nos entreprises n’avaient pas de visibilité sur la politique de développement de notre économie et n’avaient plus de boussole pour les guider dans leurs choix stratégiques. Le Conseil d’Administration a pris alors ses responsabilités en élaborant son plan stratégique de développement de la Côte d’Ivoire dénommée {( Côte d’Ivoire 2040». Ce fut une première en Afrique noire, car l’usage voudrait que ce genre de document émane d’une réflexion gouvernementale.
Bien que nous ayons aujourd’hui un programme National de Développement, Côte d’Ivoire 2040 est d’actualité et mérite une actualisation permanente. Oui, nous le secteur privé ivoirien ne devons pas nous exonérer du devoir de penser par nous et exprimer notre vision du développement économique de notre pays. Il y va même de la crédibilité de notre organisation. Au-delà de ça, nos autorités doivent connaitre au travers de ce genre d’étude prospective, les profondes aspirations de leur secteur privé.
La stratégie du Conseil d’Administration de se rapprocher des organisations régionales et internationales (UEMOA, CEDEAO, BIT, OIE, Banque Mondiale, BAD ... ) ainsi que des organisations patronales soeurs (CGEM au Maroc, MEDEF en France, Chambre de Commerce Afrique- Asie du Sud Est. .. ) a contribué au rayonnement international de la CGECI. Toutes ces organisations reconnaissent en la CGECI un partenaire fiable pour la prise en compte des aspirations du secteur privé ivoirien.
Nous assurons aujourd’hui la Présidence de la FOPAO. Nous tenons ainsi, un instrument pour soutenir le développement de nos entreprises à l’international.
Un secteur privé fort est celui dont les dirigeants des entreprises qui le composent sont bien formés. C’est pourquoi, l’initiative du Conseil d’Administration de nouer des partenariats forts avec les meilleures écoles au monde est à saluer. Je veux citer en exemple les conventions signées ou en cours de signature avec HEC, ESSEC, Science Po, etc ...
Les initiatives prises par notre Conseil d’Administration durant ces 11 années, et qui ont permis le rayonnement de notre organisation tant sur le plan national qu’international sont nombreuses et ne cessent de se démultiplier. Je vais donc vous en faire l’économie pour éviter que mon intervention ne soit un discours bilan.
Chers administrateurs, nous devons être fiers de ce que nous avons fait de notre organisation. Je sais que nous n’avons pas déçu ceux qui nous ont précédés à qui je rends un vibrant hommage.
Je pense à:
- Feu Président MEYER;
- Joseph Aka Anghui ;
- Marcel Zadi Kessy
- Feu Diack Diawar ;
De par nos initiatives, nous avons permis de sortir de notre posture de structure syndicale de « revendication» pour devenir une « force de propositions» et mieux, « une force de transformation ».
Cette transformation a été possible parce qu’encourager par nos gouvernants. Oui, nous pouvons nous estimer chanceux car cette relation fusionnelle entre un secteur privé et son administration est suffisamment rare pour être mentionnée. Durant ces dernières années nous avons évolué en duo avec nos gouvernants dans l’intérêt supérieur de la nation ivoirienne. Au nom du Conseil d’Administration et en mon nom personnel, je voudrais rendre un vibrant hommage au Président Alassane Ouattara pour sa détermination à accompagner le développement du secteur privé.
N’a-t-i1 pas pris instinctivement le leadership des initiatives pour l’émergence des champions nationaux?
Il a toujours cru en son secteur privé et cette confiance ne nous a jamais fait défaut. Nous lui disons merci et espérons continuer de mériter sa confiance.
Ces remerciements vont à l’ensemble de son gouvernement avec à sa tête le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan pour qui j’ai à la fois une grande admiration et une forte affection.
Notre Premier Ministre n’a pas fait qu’exécuter les instructions du Président Alassane Ouattara concernant le secteur privé ivoirien.
Il avait foi en ce qu’il faisait. C’est la qualité première des grands hommes. Et c’est pour cela que nous lui devrons une éternelle reconnaissance.
« Remerciements au Ministre de l’Industrie et des Mines, de l’Emploi et de la Protection Sociale, de l’Economie et des Finances, du Budget, des Pme et Artisanat, et de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle et du Ministre de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique»
Nous avons aussi un personnel dévoué que je remercie pour son abnégation et son enthousiasme au travail, ainsi que pour ses compétences qui ont permis à notre organisation de faire le Bon qualitatif que nous avons connu. Merci à vous tous, pour votre dévouement.
Je n’oublie pas les Présidents et membres de nos commissions qui ont accompli et abattu bénévolement un travail formidable. Merci.
Chers administrateurs, la CGECI est aujourd’hui notre fierté.
Jean Marie Acka, toi que les administrateurs ont porté à leur tête, tu auras la lourde tâche de faire en sorte qu’au-delà de nos adhérents, la CGECI soit la fierté de toute la nation ivoirienne. Tu as relevé de nombreux défis dans le cadre de tes entreprises qui font la fierté de notre pays et au-delà même de nos frontières. Tu as relevé de nombreux défis pour porter haut, les groupements patronaux que tu as dirigés jusqu’à maintenant. Je n’ai donc aucun doute, qu’avec ta rigueur qui est de notoriété et ton sens de l’engagement, que tu arriveras à relever ce défi et porter encore plus haut notre organisation.
Je quitte donc la tête de la CGECI rassuré de ce que tu as les qualités et les compétences requises pour relever tous les défis qui se présenteront à notre organisation. Jean Marie, je voudrais t’assurer de toute ma disponibilité et de tout mon soutien. Et je n’ai aucun doute qu’il en est de même de l’ensemble des membres de notre Conseil d’Administration et de tous nos adhérents qui t’accorderont un soutien indéfectible.
C’est ensemble que nous relèverons le défi du meilleur.
Vives les entreprises ivoiriennes, Vive la CGECI forte de la cohésion de ses membres.
Je vous remercie