Une centaine d’acteurs concernés par la question de l’insalubrité sont au laboratoire dans un complexe hôtelier dans la commune de Cocody pour dégager des pistes de réflexion sur la lutte contre l’insalubrité.
« Mise en place d’un cadre de concertation permanent entre les acteurs institutionnels en charge des modalités d’occupation et d’exploitation du domaine public urbain en vue de la lutte contre l’insalubrité », tel est le thème qui réunit du 28 au 29 novembre 2016 l’ensemble des acteurs concernés par la thématique de l’insalubrité. Coulibaly Mohamed, conseiller technique du ministre de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement, Anne Ouloto, sur les raisons de ce séminaire : « Il va être le lieu d’harmoniser notre compréhension mais également l’application des textes réglementaires existants dans le secteur de la salubrité. Il y a une batterie de textes réglementaires mais leur application sur le terrain diverge d’une structure à une autre. Nous avons estimé nécessaire d’organiser cet atelier pour que l’ensemble des acteurs puissent comprendre pour décider ensemble de leur mise en application sur le terrain » a précisé le collaborateur du Ministre Anne Ouloto. Pour le conseiller technique, le sujet englobe plusieurs domaines d’où son caractère transversale. « La question de la salubrité et de l’assainissement est une question transversale. Donc, la résolution des difficultés liées à ce secteur doit se faire de façon méthodique et progressive. L’exigence de cette méthode demande que nous puissions associer l’ensemble des acteurs intervenant dans le secteur de la salubrité », a-t-il fait savoir.
Quant à Djoman Maxime, Directeur des Affaires juridiques et du contentieux (DAJC) dudit ministère, il a indiqué l’importance qu’accorde la ministre Anne Ouloto sur la promotion de la salubrité et à l’occupation et l’exploitation respectueuse du domaine public. D’où l’institution par le ministère d’un prix d’excellence des communes qui se distinguent par leur propriété. Pour Djoman Maxime, ce séminaire doit aboutir à une identité de vues sur l’application des textes réglementaires. « Les profondes mutations qui s’opèrent aujourd’hui dans le monde au plan de la préservation de notre cadre de vie, nous interpellent au plus niveau et nous projettent dans des défis majeurs auxquels nous devons faire face », dira-t-il puis d’ajouter : « Fort de ce contexte, la protection du cadre de vie est un enjeu majeur de choix de société et de ce fait, n’échappe pas à l’emprise du droit. Dans cette optique, notre pays s’est doté de plusieurs textes législatifs et réglementaires en matière de salubrité, d’occupation et d’exploitation du domaine public. Sa mise en œuvre effective et le contrôle de leur application relèvent nécessairement de l’implication des ministères, des districts, des mairies, des institutions, de la société civile et des professions de métiers et d’artisans », a justifié le juriste.
Ernest Famin
« Mise en place d’un cadre de concertation permanent entre les acteurs institutionnels en charge des modalités d’occupation et d’exploitation du domaine public urbain en vue de la lutte contre l’insalubrité », tel est le thème qui réunit du 28 au 29 novembre 2016 l’ensemble des acteurs concernés par la thématique de l’insalubrité. Coulibaly Mohamed, conseiller technique du ministre de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement, Anne Ouloto, sur les raisons de ce séminaire : « Il va être le lieu d’harmoniser notre compréhension mais également l’application des textes réglementaires existants dans le secteur de la salubrité. Il y a une batterie de textes réglementaires mais leur application sur le terrain diverge d’une structure à une autre. Nous avons estimé nécessaire d’organiser cet atelier pour que l’ensemble des acteurs puissent comprendre pour décider ensemble de leur mise en application sur le terrain » a précisé le collaborateur du Ministre Anne Ouloto. Pour le conseiller technique, le sujet englobe plusieurs domaines d’où son caractère transversale. « La question de la salubrité et de l’assainissement est une question transversale. Donc, la résolution des difficultés liées à ce secteur doit se faire de façon méthodique et progressive. L’exigence de cette méthode demande que nous puissions associer l’ensemble des acteurs intervenant dans le secteur de la salubrité », a-t-il fait savoir.
Quant à Djoman Maxime, Directeur des Affaires juridiques et du contentieux (DAJC) dudit ministère, il a indiqué l’importance qu’accorde la ministre Anne Ouloto sur la promotion de la salubrité et à l’occupation et l’exploitation respectueuse du domaine public. D’où l’institution par le ministère d’un prix d’excellence des communes qui se distinguent par leur propriété. Pour Djoman Maxime, ce séminaire doit aboutir à une identité de vues sur l’application des textes réglementaires. « Les profondes mutations qui s’opèrent aujourd’hui dans le monde au plan de la préservation de notre cadre de vie, nous interpellent au plus niveau et nous projettent dans des défis majeurs auxquels nous devons faire face », dira-t-il puis d’ajouter : « Fort de ce contexte, la protection du cadre de vie est un enjeu majeur de choix de société et de ce fait, n’échappe pas à l’emprise du droit. Dans cette optique, notre pays s’est doté de plusieurs textes législatifs et réglementaires en matière de salubrité, d’occupation et d’exploitation du domaine public. Sa mise en œuvre effective et le contrôle de leur application relèvent nécessairement de l’implication des ministères, des districts, des mairies, des institutions, de la société civile et des professions de métiers et d’artisans », a justifié le juriste.
Ernest Famin