Yamoussoukro - Le directeur général de l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro Koffi N’Guessan a exprimé lundi la volonté de l’institut d’abriter une école de pétrole, de l’énergie et des métiers connexes qui traitera les questions liées aux énergies renouvelables.
« Les locaux sont disponibles, les enseignants-chercheurs d’ici et de la sous-région dans une synergie de leurs compétences assureront à la fois les cours et les activités de recherche à l’effet de rendre cette école performante adaptée à notre environnement et capable d’innover dans le domaine », a rassuré le directeur de l’INP-HB à l’ouverture à l’INP-HB des travaux de la 6è réunion de la conférence des responsables de formation aux métiers de pétroliers des pays membres de l’association des producteurs de pétrole africains (APPA).
Selon Koffi N’Guessan, « la volonté ferme » de l’institut de créer une école de pétrole pour disposer de cadres compétents dans le domaine porteur de valeurs ajoutées en matière d’énergie de substitution aux énergies fossiles s’articule aujourd’hui avec les résolutions de la COP22 tenue à Marrakech au Maroc et vise à éviter au continent d’accuser encore un retard préjudiciable à son développement.
Il a expliqué que la sauvegarde de l’environnement contre le réchauffement climatique et les gaz à effets de serre ainsi que le maintien de certains équilibres écologiques nécessitent que des énergies nouvelles soient proposées aux populations sans bouleverser en profondeur leur comportement.
« Le temps presse, les besoins sont immenses mais largement insatisfaits », a fait remarquer le directeur général de l’INP-HB avant demander à l’association des producteurs de pétrole africains de soutenir le projet de sorte que dans un élan de solidarité la formation des cadres ingénieurs puisse démarrer à la rentrée académique 2017.
nam/ask
« Les locaux sont disponibles, les enseignants-chercheurs d’ici et de la sous-région dans une synergie de leurs compétences assureront à la fois les cours et les activités de recherche à l’effet de rendre cette école performante adaptée à notre environnement et capable d’innover dans le domaine », a rassuré le directeur de l’INP-HB à l’ouverture à l’INP-HB des travaux de la 6è réunion de la conférence des responsables de formation aux métiers de pétroliers des pays membres de l’association des producteurs de pétrole africains (APPA).
Selon Koffi N’Guessan, « la volonté ferme » de l’institut de créer une école de pétrole pour disposer de cadres compétents dans le domaine porteur de valeurs ajoutées en matière d’énergie de substitution aux énergies fossiles s’articule aujourd’hui avec les résolutions de la COP22 tenue à Marrakech au Maroc et vise à éviter au continent d’accuser encore un retard préjudiciable à son développement.
Il a expliqué que la sauvegarde de l’environnement contre le réchauffement climatique et les gaz à effets de serre ainsi que le maintien de certains équilibres écologiques nécessitent que des énergies nouvelles soient proposées aux populations sans bouleverser en profondeur leur comportement.
« Le temps presse, les besoins sont immenses mais largement insatisfaits », a fait remarquer le directeur général de l’INP-HB avant demander à l’association des producteurs de pétrole africains de soutenir le projet de sorte que dans un élan de solidarité la formation des cadres ingénieurs puisse démarrer à la rentrée académique 2017.
nam/ask