Recueillir les aspirations profondes des populations pour leur donner un écho, à travers des projets de loi. C’est l’engagement pris par Issiaka Sangaré, candidat du Front populaire ivoirien (Fpi) aux législatives à Cocody, dans le District autonome d’Abidjan. Il a affirmé cela, hier, devant les habitants de Cocody-Centre, espace 120, au cours d’une rencontre de proximité. Venus nombreux, les habitants ont écouté avec beaucoup d’intérêt le candidat et posé des questions. « Moi député, je ne serai pas gêné de répondre à vos convocations pour vous expliquer les choses. En tout cas, je serai en permanence à l’écoute des populations pour remonter leurs aspirations, à travers des projets de loi », a-t-il dit.
Issiaka Sangaré a plaidé pour la mobilisation des populations de la commune de Cocody au profit des représentants du Fpi pour donner la chance au parti créé par Laurent Gbagbo, non seulement à se repositionner , mais surtout à contribuer à élever le débat démocratique. A cet égard, il a souligné que les députés Fpi auront les coudées franches pour défendre les populations d’autant plus qu’opposants, ils ne se gêneront pas pour critiquer l’action gouvernementale.
Parlant de la crise au Fpi, il a exhorté les uns et les autres à aller de l’avant d’autant plus que le boycott n’apporte rien au parti. « Nous n’avons pas voté la Constitution, mais ce n’est pas pour autant qu’elle ne s’applique pas à nous », a-t-il fait remarquer.
César ébrokié
Issiaka Sangaré a plaidé pour la mobilisation des populations de la commune de Cocody au profit des représentants du Fpi pour donner la chance au parti créé par Laurent Gbagbo, non seulement à se repositionner , mais surtout à contribuer à élever le débat démocratique. A cet égard, il a souligné que les députés Fpi auront les coudées franches pour défendre les populations d’autant plus qu’opposants, ils ne se gêneront pas pour critiquer l’action gouvernementale.
Parlant de la crise au Fpi, il a exhorté les uns et les autres à aller de l’avant d’autant plus que le boycott n’apporte rien au parti. « Nous n’avons pas voté la Constitution, mais ce n’est pas pour autant qu’elle ne s’applique pas à nous », a-t-il fait remarquer.
César ébrokié