Abidjan - Le chef de service communication et mobilisation du comité national de violences faites aux femmes et aux enfants, Koffi Socrates, a animé, mercredi, une conférence publique sur le thème « Déni de ressources, sources de conflits dans les foyers » dans le cadre de la campagne nationale des 16 jours d’activisme de lutte contre les violences à Adjamé-santé, un quartier au nord d’Abidjan.
Le conférencier a instruit les populations sur les différents types de violences, notamment le viol, les agressions sexuelles et physiques, les mariages précoces et forcés, le déni de ressources et les violences psychologiques et émotionnelles. Il s’est agi pour l’orateur d’exhorter les femmes à leur autonomisation comme solution à ce phénomène de violences dont elles sont victimes.
« Les femmes sont victimes de violences parce qu’elles ne sont pas indépendantes financièrement vis-à-vis des hommes. Nous vous encourageons à apprendre un métier qui vous permettra de faire face à vos besoins, sans tout attendre de l’homme. » a-t-il conseillé.
Le directeur du centre social, Akradi Danho Abraham, a encouragé les filles, victimes de violences, à s’approcher de plus en plus des centres sociaux, pour dénoncer les faits et avoir des conseils avisés.
« Nous sommes là pour vous aider en toute confidentialité, n’ayez pas peur, venez nous allons échanger ensemble sur les différents problèmes que vous vivez et dont vous ne pouvez parler à quelqu’un. Mon équipe et moi sommes à votre entière disponibilité» a-t-il exhorté.
La peur d’être mal vues par les siens empêche les jeunes filles et femmes victimes de ces abus de les dénoncer aux autorités compétences pour réparations, sans toutefois oublier, le poids de la religion, de la tradition et de la culture africaine, souligne-t-on.
gf/ask
Le conférencier a instruit les populations sur les différents types de violences, notamment le viol, les agressions sexuelles et physiques, les mariages précoces et forcés, le déni de ressources et les violences psychologiques et émotionnelles. Il s’est agi pour l’orateur d’exhorter les femmes à leur autonomisation comme solution à ce phénomène de violences dont elles sont victimes.
« Les femmes sont victimes de violences parce qu’elles ne sont pas indépendantes financièrement vis-à-vis des hommes. Nous vous encourageons à apprendre un métier qui vous permettra de faire face à vos besoins, sans tout attendre de l’homme. » a-t-il conseillé.
Le directeur du centre social, Akradi Danho Abraham, a encouragé les filles, victimes de violences, à s’approcher de plus en plus des centres sociaux, pour dénoncer les faits et avoir des conseils avisés.
« Nous sommes là pour vous aider en toute confidentialité, n’ayez pas peur, venez nous allons échanger ensemble sur les différents problèmes que vous vivez et dont vous ne pouvez parler à quelqu’un. Mon équipe et moi sommes à votre entière disponibilité» a-t-il exhorté.
La peur d’être mal vues par les siens empêche les jeunes filles et femmes victimes de ces abus de les dénoncer aux autorités compétences pour réparations, sans toutefois oublier, le poids de la religion, de la tradition et de la culture africaine, souligne-t-on.
gf/ask