Le Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique (Pasres), un fonds ivoiro-suisse, a organisé du 7 au 9 décembre 2016 à l’Ecole normale supérieure (ENS), un séminaire de renforcement de capacité des enseignants-chercheurs de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody. Cet atelier de formation avait pour thème principal, « la rédaction d’articles scientifiques » et s’adressait à 20 enseignants-chercheurs de l’Institut de Géographie Tropicale (IGT) et de l’Institut d’Ethno-sociologie (IES). Lors de la cérémonie de clôture dudit séminaire, le vendredi 9 décembre 2016, Dr Sangaré Yaya, Secrétaire exécutif du Pasres, a expliqué l’importance d’une telle formation. Selon lui, la rédaction d’un article de recherche ou d’un article scientifique constitue l’un des principaux défis auquel font face les chercheurs et les universités dans différents disciplines, en raison des hautes compétences que celles-ci requiert. Telles que la nouveauté, l’exactitude, l’objectivité, la finesse du style, et la capacité à interagir avec les niveaux scientifiques et mondiaux du débat. Il a prévenu que cette rédaction est soumise à des règles et critères que beaucoup considèrent comme trop rigoureux.
Un fait reconnu par le professeur Biaka Zasseli, président du Conseil scientifique du Pasres. Celui-ci a révélé que plusieurs départements universitaires étaient menacés de fermeture à cause du manque de professeurs titulaires. « De plus en plus de professeurs titulaires laissent la main, mais ils sont difficilement remplacés. Les exigences du CAMES avec l’obligation de la rédaction d’au moins cinq (5) articles scientifiques de haut niveau rendent ce renouvèlement moins aisé », a-t-il souligné. D’où l’importance et l’utilité de ce genre de formation qui permette d’améliorer la qualité des articles proposés dans les différents journaux et revus scientifiques.
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Un fait reconnu par le professeur Biaka Zasseli, président du Conseil scientifique du Pasres. Celui-ci a révélé que plusieurs départements universitaires étaient menacés de fermeture à cause du manque de professeurs titulaires. « De plus en plus de professeurs titulaires laissent la main, mais ils sont difficilement remplacés. Les exigences du CAMES avec l’obligation de la rédaction d’au moins cinq (5) articles scientifiques de haut niveau rendent ce renouvèlement moins aisé », a-t-il souligné. D’où l’importance et l’utilité de ce genre de formation qui permette d’améliorer la qualité des articles proposés dans les différents journaux et revus scientifiques.
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