Le candidat indépendant au scrutin législatif de 2016 pour la circonscription électorale de Daoukro/N’gattakro, Olivier Akoto a lancé sa campagne dimanche 11 décembre dans ladite circonscription. Femmes, jeunes, vieux et enfants sont sortis nombreux pour écouter son message.
Pour ce meeting d’ouverture, le candidat indépendant s’est voulu clair sur certains points et a profité pour lever toute équivoque sur sa candidature à ces législatives. « Je ne veux défier personne, encore moins mon père et repère, le président Henri Konan Bédié. (...) ma candidature répond juste au vœu profond de la base car j’estime que pendant 5 ans le travail n’a pas été fait comme il se doit. Il est donc temps que ça change ! »,a déclaré Olivier Akoto devant une foule d’admirateurs. Poursuivant ses propos, l’ancien "méeciste" (ancien SG du MEECI) a fait la genèse du combat qu’il mène, de la conviction politique qui le guide et de son engagement auprès des populations. « Depuis plus de 30 années, j’ai aspiré à servir mon peuple, je me suis donc battu pour cela. J’ai été à vos côtés jour et nuit à votre écoute. Je connais vos problèmes, je ne peux donc trahir vos intérêts pour mes aspirations personnelles parce qu’être un élu c’est se mettre au service des populations», a-t-il souligné.
Au terme de son intervention, Olivier Akoto a appelé ses partisans à mener une campagne civilisée et à faire fi de toutes velléités de provocation à leur encontre en promouvant les valeurs de sagesse et d’humilité incarnées par sa personne pour le triomphe de cette candidature qu’il maintient «vaille que vaille» dans la perspective d’avoir la majorité des suffrages au soir du 18 décembre 2016.
Plusieurs leaders d’opinion, militants de base et cadres de la région ont prêté leur image et leur appui à ce grand rassemblement qu’il convient d’appeler le "meeting de la résistance et du changement", notamment le conseiller économique et social, Koffi Toussaint, qui a fustigé le comportement de certains cadres qu’il a qualifié d’anti-démocratique. « On ne peut pas être l’arbitre ou le juge d’une compétition où nous nous sommes fixés des règles dès le départ et venir plus tard sans consulter personne enfreindre soi-même à ces mêmes règles», a-t-il dénoncé. Et d’ajouter « mettons nous tous derrière Akoto, mieux votons pour lui massivement ce 18 décembre afin que Bédié, notre papa à tous, sache de quel camp se trouve la vérité. »
D.T
Pour ce meeting d’ouverture, le candidat indépendant s’est voulu clair sur certains points et a profité pour lever toute équivoque sur sa candidature à ces législatives. « Je ne veux défier personne, encore moins mon père et repère, le président Henri Konan Bédié. (...) ma candidature répond juste au vœu profond de la base car j’estime que pendant 5 ans le travail n’a pas été fait comme il se doit. Il est donc temps que ça change ! »,a déclaré Olivier Akoto devant une foule d’admirateurs. Poursuivant ses propos, l’ancien "méeciste" (ancien SG du MEECI) a fait la genèse du combat qu’il mène, de la conviction politique qui le guide et de son engagement auprès des populations. « Depuis plus de 30 années, j’ai aspiré à servir mon peuple, je me suis donc battu pour cela. J’ai été à vos côtés jour et nuit à votre écoute. Je connais vos problèmes, je ne peux donc trahir vos intérêts pour mes aspirations personnelles parce qu’être un élu c’est se mettre au service des populations», a-t-il souligné.
Au terme de son intervention, Olivier Akoto a appelé ses partisans à mener une campagne civilisée et à faire fi de toutes velléités de provocation à leur encontre en promouvant les valeurs de sagesse et d’humilité incarnées par sa personne pour le triomphe de cette candidature qu’il maintient «vaille que vaille» dans la perspective d’avoir la majorité des suffrages au soir du 18 décembre 2016.
Plusieurs leaders d’opinion, militants de base et cadres de la région ont prêté leur image et leur appui à ce grand rassemblement qu’il convient d’appeler le "meeting de la résistance et du changement", notamment le conseiller économique et social, Koffi Toussaint, qui a fustigé le comportement de certains cadres qu’il a qualifié d’anti-démocratique. « On ne peut pas être l’arbitre ou le juge d’une compétition où nous nous sommes fixés des règles dès le départ et venir plus tard sans consulter personne enfreindre soi-même à ces mêmes règles», a-t-il dénoncé. Et d’ajouter « mettons nous tous derrière Akoto, mieux votons pour lui massivement ce 18 décembre afin que Bédié, notre papa à tous, sache de quel camp se trouve la vérité. »
D.T