Dimanche 18 décembre, les électeurs ivoiriens choisiront ceux qui les représenteront à l’Assemblée nationale sur les 255 sièges à pourvoir. Un scrutin plus ouvert que jamais, ce qui suscite parfois dans certaines circonscriptions des tensions et quelques violences ou intimidations. Des actes dénoncés sans détours par un groupement d’ONG.
Selon un compte rendu publié par Amnesty international Wanep ou encore l’ONG Rasalao dans certaines circonscriptions de Côte d’Ivoire, les tensions entre candidats sont palpables.
Actes d’intimidations ou menaces verbales le plus souvent et parfois on passe du geste à la parole contre les équipes de campagnes adverse. Ainsi, à Bingerville un candidat RHDP a été empêché de tenir meeting ; à Abobo, des... suite de l'article sur RFI
Selon un compte rendu publié par Amnesty international Wanep ou encore l’ONG Rasalao dans certaines circonscriptions de Côte d’Ivoire, les tensions entre candidats sont palpables.
Actes d’intimidations ou menaces verbales le plus souvent et parfois on passe du geste à la parole contre les équipes de campagnes adverse. Ainsi, à Bingerville un candidat RHDP a été empêché de tenir meeting ; à Abobo, des... suite de l'article sur RFI