Grand-Bassam - Le 4ème rapport de la Côte d’Ivoire sur la Convention de l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF) a été validé par les ministères, organismes publics, organisations féminines et organismes de défense des droits de l’homme, vendredi, à Grand-Bassam.
Lors d’un atelier organisé par le ministère de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’enfant, avec l’appui technique de l’ONU-Femmes et de l’UNFPA à travers la direction du genre et de l’équité, la trentaine de participants ont fait des observations et des suggestions pour consolider le document en vue de réduire les situations discriminatoires et de violence à l’égard des femmes en Côte d’Ivoire.
Le document vise également à renforcer la coopération avec les institutions spécialisées et les programmes des Nation Unies en vue de répondre aux normes de Genève.
Selon le directeur de cabinet adjoint, Kouakou N’guessan Magel Epiphanie, la validation de ce rapport révèle aux yeux de tous que « nous sommes une grande nation qui fait face à ses engagements, gage de la bonne gouvernance ».
Cette convention, ratifiée par la Côte d’Ivoire en 1995, engage tous les Etats membres à présenter, tous les quatre ans, un rapport décrivant toutes les mesures prises pour mettre fin à la discrimination envers les femmes.
ko/aaa/ask
Lors d’un atelier organisé par le ministère de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’enfant, avec l’appui technique de l’ONU-Femmes et de l’UNFPA à travers la direction du genre et de l’équité, la trentaine de participants ont fait des observations et des suggestions pour consolider le document en vue de réduire les situations discriminatoires et de violence à l’égard des femmes en Côte d’Ivoire.
Le document vise également à renforcer la coopération avec les institutions spécialisées et les programmes des Nation Unies en vue de répondre aux normes de Genève.
Selon le directeur de cabinet adjoint, Kouakou N’guessan Magel Epiphanie, la validation de ce rapport révèle aux yeux de tous que « nous sommes une grande nation qui fait face à ses engagements, gage de la bonne gouvernance ».
Cette convention, ratifiée par la Côte d’Ivoire en 1995, engage tous les Etats membres à présenter, tous les quatre ans, un rapport décrivant toutes les mesures prises pour mettre fin à la discrimination envers les femmes.
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