Abidjan - La Super Ebony 2016, Paule Bénédicte Bolou Tagro, rédactrice en chef à Radio Yopougon, affirme dédier son prix aux femmes des médias pour leur prouesse à concilier « le travail et la vie de famille ».
«En tant que femme, il y a beaucoup de choses qui entrent en ligne de compte, mais l’on a du temps pour proposer des sujets, c’est important », a déclaré la meilleure journaliste de Côte d’Ivoire, samedi, lors d’un entretien accordé à l’AIP.
Paule Bénédicte Bolou Tagro entend ainsi montrer aux femmes que ce prix n’est pas seulement réservé aux hommes. Elle encourage les femmes des médias à se lancer dans la compétition et à exceller dans leur travail.
De plus, étant la première lauréate issue d’une radio de proximité, elle considère ce prix comme une reconnaissance des agents de ces radios qui, il y a deux ou trois ans, souligne-t-elle, n’avaient pas de carte professionnelle de journaliste et ne faisaient pas partie de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI).
Avant d’être sacrée lauréate du Super Ebony, Paule Bénédicte Bolou Tagro a glané trois prix sectoriels, à savoir le prix spécial Jérôme Diégou Bailly de la meilleure enquête, le prix de la meilleure interview baptisé Jean Pierre Ayé et le prix du meilleur journaliste Radio (Ebony Radio). La cérémonie s’est tenue le 10 décembre à l’hôtel Président, à Yamoussoukro, au cours de la 18ème édition du Prix Ebony.
tad/cmas
«En tant que femme, il y a beaucoup de choses qui entrent en ligne de compte, mais l’on a du temps pour proposer des sujets, c’est important », a déclaré la meilleure journaliste de Côte d’Ivoire, samedi, lors d’un entretien accordé à l’AIP.
Paule Bénédicte Bolou Tagro entend ainsi montrer aux femmes que ce prix n’est pas seulement réservé aux hommes. Elle encourage les femmes des médias à se lancer dans la compétition et à exceller dans leur travail.
De plus, étant la première lauréate issue d’une radio de proximité, elle considère ce prix comme une reconnaissance des agents de ces radios qui, il y a deux ou trois ans, souligne-t-elle, n’avaient pas de carte professionnelle de journaliste et ne faisaient pas partie de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI).
Avant d’être sacrée lauréate du Super Ebony, Paule Bénédicte Bolou Tagro a glané trois prix sectoriels, à savoir le prix spécial Jérôme Diégou Bailly de la meilleure enquête, le prix de la meilleure interview baptisé Jean Pierre Ayé et le prix du meilleur journaliste Radio (Ebony Radio). La cérémonie s’est tenue le 10 décembre à l’hôtel Président, à Yamoussoukro, au cours de la 18ème édition du Prix Ebony.
tad/cmas