Au moins deux personnes ont été blessées dimanche après que des inconnus "armés" ont "attaqué" le cortège de Bakagnan Kamagaté, a confié le candidat indépendant à Yopougon (Ouest d’Abidjan), à ALERTE INFO.
"Mon cortège a d’abord été attaqué. C’était une embuscade (au quartier) Bel Air et ils nous ont poursuivi jusqu’à notre QG" qu’ils ont "encerclés", a dit M. Kamagaté, candidat de la liste "Notre Yopougon", ajoutant que ces inconnus venus à bord de minicars appelés "Gbakas" étaient "armés de gourdins et pistolets".
Ils ont "réussi à faire descendre" deux membres de l'équipe du candidat d'un véhicule, leur ont donné des coups et "arraché leurs portables", a poursuivi Bakagnan Kamagaté, soulignant que les inconnus ont quitté les lieux après l'arrivée de la police.
Selon M. Kamagaté, l’attaque est intervenue alors qu’il faisait le tour des bureaux de vote, après avoir constaté des irrégularités:"je passais dans les bureaux pour demander à la Commission électorale indépendante (CEI) de détruire des bulletins déjà stickés et des procès-verbaux (PV) déjà signés".
Il dit avoir "aidé" dans la matinée un président de bureau de vote a "déchirer" des "PV pré-signés", soulignant que les agents lui ont fait savoir que ce procédé permet de "gagner du temps", dans cette commune qui compte 470.390 électeurs inscrits.
Plus de 6,3 millions d’Ivoiriens étaient appelés dimanche aux urnes pour élire 255 députés sur 1.337 candidats.
MYA
"Mon cortège a d’abord été attaqué. C’était une embuscade (au quartier) Bel Air et ils nous ont poursuivi jusqu’à notre QG" qu’ils ont "encerclés", a dit M. Kamagaté, candidat de la liste "Notre Yopougon", ajoutant que ces inconnus venus à bord de minicars appelés "Gbakas" étaient "armés de gourdins et pistolets".
Ils ont "réussi à faire descendre" deux membres de l'équipe du candidat d'un véhicule, leur ont donné des coups et "arraché leurs portables", a poursuivi Bakagnan Kamagaté, soulignant que les inconnus ont quitté les lieux après l'arrivée de la police.
Selon M. Kamagaté, l’attaque est intervenue alors qu’il faisait le tour des bureaux de vote, après avoir constaté des irrégularités:"je passais dans les bureaux pour demander à la Commission électorale indépendante (CEI) de détruire des bulletins déjà stickés et des procès-verbaux (PV) déjà signés".
Il dit avoir "aidé" dans la matinée un président de bureau de vote a "déchirer" des "PV pré-signés", soulignant que les agents lui ont fait savoir que ce procédé permet de "gagner du temps", dans cette commune qui compte 470.390 électeurs inscrits.
Plus de 6,3 millions d’Ivoiriens étaient appelés dimanche aux urnes pour élire 255 députés sur 1.337 candidats.
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