Il ne manquait plus que ça... dimanche à 16h, lorsque la pluie s’est abattue dans ce quartier d’Abobo (commune populaire du nord d’Abidjan), il a bien fallu se rendre à l’évidence : cette journée de vote ne restera sûrement pas dans les annales. Une quarantaine de votes dans tel bureau, une cinquantaine dans celui-là, à peine une trentaine dans cet autre...
À Abobo comme à Marcory, Treichville ou encore Koumassi, les élections législatives ivoiriennes n’auront pas déplacé les foules. « C’est leur élection, ce n’est pas la nôtre », explique ce père de famille abobolais, qui n’a pas jugé nécessaire de « gaspiller son carburant » et son temps pour voter pour « des gens qui ne se souviennent d’(eux) que lors des élections. Il faut qu’ils... suite de l'article sur Jeune Afrique
À Abobo comme à Marcory, Treichville ou encore Koumassi, les élections législatives ivoiriennes n’auront pas déplacé les foules. « C’est leur élection, ce n’est pas la nôtre », explique ce père de famille abobolais, qui n’a pas jugé nécessaire de « gaspiller son carburant » et son temps pour voter pour « des gens qui ne se souviennent d’(eux) que lors des élections. Il faut qu’ils... suite de l'article sur Jeune Afrique