Le candidat du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), Faustin Aboh Kouamé, vainqueur des législatives dans la circonscription de Sikensi, appelle son poursuivant immédiat N’Guessan N’Guessan Alphonse, au fair play.
« Je lui tends la main du père. Qu’il ait un esprit fair-play et vienne apprendre à mes côtés », a recommandé M. Aboh à son adversaire, dans un entretien accordé lundi, à l’AIP, précisant avoir déjà reçu les félicitations de tous les autres concurrents perdants.
Considérant qu’un « chantier énorme » attend le premier mandat législatif de la troisième République, le nouveau député s’est engagé à faire entendre « la voix » de Sikensi à l’hémicycle et en retour, rendre compte des activités du Gouvernement, et ce dans la perspective de faire bénéficier à la localité, les fruits du développement et de l’émergence.
Faustin Aboh Kouamé a gagné les élections avec 2 732 voix soit 30,12% des suffrages exprimés devant son challenger N’Guessan N’Guessan Alphonse qui a obtenu 2 587 voix soit 28,52%. Le candidat malheureux a introduit un recours pour protester contre les résultats proclamés par la Commission électorale indépendante (CEI).
km/fmo/akn/kam
« Je lui tends la main du père. Qu’il ait un esprit fair-play et vienne apprendre à mes côtés », a recommandé M. Aboh à son adversaire, dans un entretien accordé lundi, à l’AIP, précisant avoir déjà reçu les félicitations de tous les autres concurrents perdants.
Considérant qu’un « chantier énorme » attend le premier mandat législatif de la troisième République, le nouveau député s’est engagé à faire entendre « la voix » de Sikensi à l’hémicycle et en retour, rendre compte des activités du Gouvernement, et ce dans la perspective de faire bénéficier à la localité, les fruits du développement et de l’émergence.
Faustin Aboh Kouamé a gagné les élections avec 2 732 voix soit 30,12% des suffrages exprimés devant son challenger N’Guessan N’Guessan Alphonse qui a obtenu 2 587 voix soit 28,52%. Le candidat malheureux a introduit un recours pour protester contre les résultats proclamés par la Commission électorale indépendante (CEI).
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